SIST.'-SIïJES DU LA'TRESSE ET DU LIVRE

Can.~-/"jaderj (-av:::' -j" ù de la O.VP^,"'C 3t du Livre,

Janair; 1 'histoire du Douver/^r.t ov>'rier de notre paye ne connût de
situation aussi -^rceptd u?rae]J e aue celle q-:e nous vivons aujourd'hui.
Le poulie travailleur' duu;> f;on enoeable est décidé à venir à bout de sec
chaînon, dan;, vn nouvcuiert de naa-:e qui ébranle la société toute entière.
La Iîévolutie.1 'Poi^Mlsiro a ooociençé. Un gigànetéièQUe Fi'ont Populaire pour
la Liberté et le Bien-eï^e «e développe par doGcua tous les obstacles,
par decGuc toutou i^rs d i.Ti-Tiona ; I '•u:/.if c co.rtouT !ÎG réalise et ce renforce
clan..'.: la lùtttj ' rr: :?..;;• :. '?; ... :; ,.;.c ~ ':-T.: Iro cacip du peupla GO renforce de la

peu do pcnpc , encore inac-

tif G .

reritr'bl•» >>ov: t uni du peuple travailleur
iq dicte, Sc;j dirigeants cont nés et
idnoij, cl-ru; l--c. campagnes, parai les

Son •po'.'.v .d:. ce oers. celui dec trcvailleurc unie dano la conqtiôte du
bion-ÔOi".; et d£ la liberté

Tacs- à la poussée de'; marsea; les ager.ts de la bourgeoisie infiltrés
dans le meuve; d./; ouvris!*', les ,ré'f crnistos, les opportunistes, se sont
révélée et se d"i •• t\é.ci?.( '; .10-3, ., f

E..I ejTiot la lljj'ïs ué déniai cation est très claire: d'un coté il y
a 1,6 ouvrière et lec paç-cavic ou lutte pour la cabisafaction IliTEGRALE
rr.""er-dic''.t^ ur.r , qui occupent j es usines ou manif estents
us', pluô les étudiants progressistes qui

d t

~

-de l'autre côté

"-^i-.i-.cu. • i. v "n.-.,-;•. t '.ïC-Uilos - toujours prêts à servir
Mt,r:,_at oav.r saigner j.a olasse ouvrière comme l'ont
-j^-F. v:ii';o et I»' i.-ttei-and - Tout le monde le sait, il

;: nui or t br^di déf:<.rdd;ivenent la lutte de classe,
i*s :'./:l.";f:-'-^i s ref o.':ir.:.i.«tes f'e la Confédération
l'.nsr lc-n travail!surs pour quelques sièges au
parleaoîOb, p3u-£,tant l'a cl;., 'se ou*-"::ièra sait plus que jamais que le parle-
mentarisme n.o dev^ appori ar q.u'uja changement d'étiquette, un changement
d:Uoi!ine.5 pour uiie me-ue polit,.t'iue patronale de répression et de surexploi*a
L a v j. o n 0

]>:ON. Le1-? j ••-;'. oJ •...•.:.'. 'os ne peuvent pas apporter la victoire,
FOïï, Les cuvvj r-i 3 ne .'Laisseront po.,3 leurs usines aux flies.
Une aeulc îo'raû d'action; 'là LUTTE UÏTIE ET RESOLUE JUSQU'A LA
VICTOIRE FINALE»

II faire transfo/'ner les .Troi'epr^.ses occupés en véritables bastions
rouges de 'L? classe ou.vrdàr« et non s'en /-émettre à deb politiciens tra-

a victoire c'est l'occupation, le chenin de

f loueurs „ e c:an

1 ' asservir;sei:"?;;ib 3', est le ^arlenant , c'est la carte Mitterand.

Fa; e :i 1 ' c,:'f e;u' j.vo répressive du gaullisne à L ' AG_OHIE qui espère
effrayei- le "ocuv-i-e travailleur, lec bradeure veulent s'en remettre aux
législatives et dcnsndont air* ouvriers do Citroen, aux employés des PTTT
de c é d er en e at; d ' a.t t aq u c ,

: o , / o o «

TERRE PS DEMOCRATIE POUR LES OUVRIERS, nous n'accep

tarons jamais de continuer à vivre
au pouvoir à NOTRE place,

Dans notro Féd,ration de la Presse et du Livre, If
sabotage de division les chantages ne se comptent plus.

Les ouvriers des î-ïiPP qui ont déclanche le DOU/ement dans la Fédé-
ration ont subi depuis le Ie? Mai de nombreux assauts de l'Intersyndicale
pour dévoyer leurs luttes, la mettre sur une voie de garage, aboutir à
un compromis bâtard. Ils n'ont pas cède, ILS NE CEDERONT PAS.

L'ensemble des travailleurs du Livre et do la presse doit faire
de mène, II faut que la masse des ouvriers se rendent maîtresse de
SON SYNDICAT. Nos véritables dirige ants , ce sont ceux qui à l'intérieur
des comités do grève dirigent la lutte avec résolution, se dévouent tota-
lement à leurs camarades, RENFORCENT CONTIHUELLEnEi'ï LA DETERMINATION DE
VAINCRE. Ce sont eux nos dirigeants syndicaux, les véritables syndicalistes
CGT et non les pantins des patrons vautrés Bd. Blanqui dans la compromi-
ssion et le réformisme. Chaque jour de lutte est, pour eux, intolérable,
à la fin du compte nous déboulonnerons ces vieilles idoles.

Pour cela il faut jeter toutes nos forces dans la lutte, répondre
du tac au tac aux intimidations gaullistes.

Actuellement il faut a tout prix renforcer l'uiiité et organiser
l'auto-défense par tous les moyens. Il faut renforcer les piquets, mobi2=is
liser tout le monde dans les ateliers. Renforçons notre VIGILANCE, resse-
rons les rangs, au coude à coude nous viendrons à bout de ce régime pourri

Nous pouvons vaincre, nous devons nous rallier la population des
quartiers pour qu'elle protège nos usines; nous pouvons aussi compter sur
les étudiants progressistes, et sur tous les camarades des autres usines
en premier lieu. Et puiseras nous pouvons vaincre, alors NOUS , VAINCRONS.

Les ateliers occupés sont les avants-postes de la lutte populaire,
ce sont les bastions improbables de la. classe ouvrière ; c'est autour
d'eux que s'organisera la résistance, et c'est l'attitude à' leur égard
qui démarquera nos amis de nos ennemis.

Camarades des imprimeries, vous êtes maîtres chez vous, vous êtes
maîtres de vos machines, IMPRIMEZ DES TRACTS, DES APPELS , pour vos
frères de combat, IMPRIMEZ UNE PRESSE POPULAIRE, LE JOURNAL DE VOTRE
LUTTE, QUI INFORMERA REELLEMENT LE PEUPLE SUR NOTRE COMBAT.

POUR LE PEUPLE UNE PRESSE NOUVELLE
POUR LE PEUPLE UNE PRESSE POPULAIRE

Lisez ï LA CAUSE DU PEUPLE :î journal de Front Populaire , réalisé
par les travailleurs en lutte .

PRENEZ CONTACT AVEC LES SYNDICALISTES PROLETARIENS DE LA PRESSE
ET DU LIVRE par le canal d'un diffuseur du tract ou du journal.

D

,1

Dans le plus grand mouvement populaire j&Bais connu en France,

après 15? jours d'occupation; Ici Direction entend s'en tirer

avec quelqu.es couco.3r.Ton.s dérisoires I ']

Mais les employés no peuvent GO contente? do ces miettes I

Nous savons que rien n'est cliangé car Ia./haxi3sç dos prix se cha?-

g-era par la suite do r^tnblir la situation en favetir du patronnai

Pour nous faire avaler cette eou.7euv.ro. ^os patrons proposent un
vote truqué au. déport : il consiste à utiliser les cadres coirc.ro
nous4 Ils prétendent faire vo^er la repSTLsa du travail indiffe-
rennent par les employés, cadrée et ogexres ue maîtrise, comme
si l'ensemble oad-î'os-ag'ents de maîtrise a tait concerne au mène
titre que les omployos par nos revondicalions et la g-rèvo que
nous "îenojTGj, n»'oublions pas qu'il y •:. 110'" cadres et agents de
maitz-îse pour un effectif do .2400 percqrjics.

CE VOTE :SST UîO T30K-I5RI

I

')

Mais nous ne laisserons pas la Direction nous manoeuvrer si
facilement I 311o compte sans la vigilance dos employés qui ne
se laisseront pas berner»

FOUS N'AVONS PRATÏ^ïî^ST K£.'2N OBTZNu I Si nous reprenons le
travail demain • nous aurons fait grève pour rien f

En poursuivant 1?action avec l'ensemble du mouvement qui se

confirme or. France

reprise du travail

de la Direction ; e.lle cédera I

(édiec

drintoxication sur la
ncuo affaiblirons la position

Renversons la manoeuvre patronale on votant NOIJ A LA RZ5PHISS
DU TRAVAIL î

I/o Oor.rlté