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Les étudiants ont occupé les facultés

ouvriers ont occup/ les
Partout les travailleurs s'organisent, renforcent leurs grèves

fendredi, des dizaines de milliers de manifestants, à Paris, cen-
taines de milliers toute la France, ont affirmé leur résolution de
combattre jusqu'au "bout »

Contre eux, le pouvoir a lâché flics.

Le pouvoir qui n'a plus de facultés, plus d'usines, plus de transports
plus de radio, n'a plus que des flics peur se défendre.

LUI LE

C'est De Gaulle appelant au plébiscite par le chantage à la guerre

civile.

C'est Ponpidou décrétant aujourd'hui la terreur policière.

C'est Fouchat hurlant sa liaine raciste contre la " pègre ".

HS CE BOX !

La pègre» c'est ce ramassis de privilégiés qui se cranponnent au pou-
voir contre la volonté populaire.

Les provocateurs ce sont cous qui n'ont plus pour seule legitinité
les matraques et les grenades,

CE SOIT EOX QUI TOUTE LA NUIT DE VENDREDI A SAMEDI

OiW LE ET LA BATOHlflDS AU NOM

DS

LA ; DUE :

L'MITE L'ACTION DES TBAf AILLEURS SE DES Eï'UDIUfTS.

L'ORGANISATION DU POUR QUE LA VOLONTE

LiS D'ACTION

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La Coordination des Comités
d'Action,

(Sorbonne Escalier G - 1er étage droite )