Le Creuset
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24 E ANNÉE
BI-MENSUEL
1B MAI 19 B S
NUMÉRO 527
BI-MENSUEL
1B MAI 19 B S
NUMÉRO 527
EDITORIAL
<( Pas de jolie guerre, pas de jolie révolution »
IL n'y a pas de jolie guerre, il n'y a pas de jolie révolution,
disait M. Vinciguerra, député d'Alger, au moment des dra-
matiques événements de l'année 1962.
En écho, la voix d'un brillant avocat se faisait entendre :
« Pas de jolie guerre, pas de jolie révolution, nous sommes
bien partis, les morts succèdent aux morts, les plasticages
aux plasticages. »
disait M. Vinciguerra, député d'Alger, au moment des dra-
matiques événements de l'année 1962.
En écho, la voix d'un brillant avocat se faisait entendre :
« Pas de jolie guerre, pas de jolie révolution, nous sommes
bien partis, les morts succèdent aux morts, les plasticages
aux plasticages. »
Nous n'en sommes pas là, mais
les violences succèdent aux vio-
lences, les « cocktails Molotov »
aux grenades lacrymogènes, les
matraquages aux incendies de voi-
tures.
les violences succèdent aux vio-
lences, les « cocktails Molotov »
aux grenades lacrymogènes, les
matraquages aux incendies de voi-
tures.
C'est dans un climat de passion
révolutionnaire qui déferlait sur la
capitale le samedi 11 mai que le
Bureau de la C.G.C., en liaison télé-
phonique avec moi-même, dut pren-
dre position. Nos services étaient
harcelés de coups de téléphone
d'adhérents qui les exhortaient à
défendre les victimes de la répres-
sion de la nuit précédente. Parmi
nos correspondants figuraient de
nombreux pères de famille, mani-
festant une inquiétude, en quelque
sorte viscérale, sur le sort de leurs
enfants.
révolutionnaire qui déferlait sur la
capitale le samedi 11 mai que le
Bureau de la C.G.C., en liaison télé-
phonique avec moi-même, dut pren-
dre position. Nos services étaient
harcelés de coups de téléphone
d'adhérents qui les exhortaient à
défendre les victimes de la répres-
sion de la nuit précédente. Parmi
nos correspondants figuraient de
nombreux pères de famille, mani-
festant une inquiétude, en quelque
sorte viscérale, sur le sort de leurs
enfants.
Les membres du Bureau, présents
à Paris, étaient parfaitement cons-
cients, quelle que soit la décision
qu'ils prendraient, qu'ils seraient
critiqués, car il n'est pas possible,
dans un climat passionnel, d'évi-
ter qu'un acte, ou même l'absence
d'acte, ne soit considéré comme une
prise de position politique.
à Paris, étaient parfaitement cons-
cients, quelle que soit la décision
qu'ils prendraient, qu'ils seraient
critiqués, car il n'est pas possible,
dans un climat passionnel, d'évi-
ter qu'un acte, ou même l'absence
d'acte, ne soit considéré comme une
prise de position politique.
Nous savons tous, depuis Geor-
ges Clemenceau, que la politique
est farte de passion. Il faut donc
remettre le texte du premier com-
muniqué dans son contexte, si l'on
veut apprécier objectivement la dé-
cision de la C.G.C.
ges Clemenceau, que la politique
est farte de passion. Il faut donc
remettre le texte du premier com-
muniqué dans son contexte, si l'on
veut apprécier objectivement la dé-
cision de la C.G.C.
J'aborde maintenant ce que, du
temps de mes études classiques,
on appelait un commentaire^ de texte
qui porte sur les deux communi-
qués : celui du 11 mai 1968 &t celui
du dimanche soir 12 mai, rédigé
après que l'appel du Premier Mi-
nistre ait été connu (1).
temps de mes études classiques,
on appelait un commentaire^ de texte
qui porte sur les deux communi-
qués : celui du 11 mai 1968 &t celui
du dimanche soir 12 mai, rédigé
après que l'appel du Premier Mi-
nistre ait été connu (1).
La C.G.C. « s'indigne des ater-
moiements du Gouvernement ».
Tout pays, en effet, aspire à être
gouverné. L'impression générale a
été que, pendant toute cette se-
maine dramatique, il y avait une
carence totale des autorités, y com-
pris des autorités gouvernemen-
tales. Il appartenait à une organi-
sation comme la nôtre, dont on ne
peut dire qu'elle est composée
d'enragés, de dénoncer « l'incapa-
cité des Pouvoirs publics qui ont
laissé se développer une situation
qui a fatalement abouti à des excès
et des brutalités hautement condam-
nables. »
moiements du Gouvernement ».
Tout pays, en effet, aspire à être
gouverné. L'impression générale a
été que, pendant toute cette se-
maine dramatique, il y avait une
carence totale des autorités, y com-
pris des autorités gouvernemen-
tales. Il appartenait à une organi-
sation comme la nôtre, dont on ne
peut dire qu'elle est composée
d'enragés, de dénoncer « l'incapa-
cité des Pouvoirs publics qui ont
laissé se développer une situation
qui a fatalement abouti à des excès
et des brutalités hautement condam-
nables. »
Mais les dirigeants de la Confé-
dération ne sont ni des aveugles, ni
des démagogues. Aussi recomman-
daient-ils « aux étudiants de se sé-
parer des perturbateurs décidés à
exploiter leur mouvement à d'autres
fins ». Il nous semble, en effet, évi-
dent, que si la grande majorité des
étudiants est de bonne foi, ce n'est
pas spontanément que 500.000 per-
sonnes défilent dans les rues de la
capitale et qu'il y a un appareil ou
des appareils qui essaient de se
servir de cette foule estudiantine
comme d'une masse de manœuvre.
dération ne sont ni des aveugles, ni
des démagogues. Aussi recomman-
daient-ils « aux étudiants de se sé-
parer des perturbateurs décidés à
exploiter leur mouvement à d'autres
fins ». Il nous semble, en effet, évi-
dent, que si la grande majorité des
étudiants est de bonne foi, ce n'est
pas spontanément que 500.000 per-
sonnes défilent dans les rues de la
capitale et qu'il y a un appareil ou
des appareils qui essaient de se
servir de cette foule estudiantine
comme d'une masse de manœuvre.
Cette recommandation faite, le
Bureau de la C.G.C. demandait « à
ses adhérents de marquer lundi,
Bureau de la C.G.C. demandait « à
ses adhérents de marquer lundi,
par un arrêt de travail, la solidarité
des cadres d'aujourd'hui avec ceux
de demain ».
des cadres d'aujourd'hui avec ceux
de demain ».
Pour nous, il s'agit évidemment
d'authentiques étudiants et je suis
intervenu personnellement auprès
du Gouvernement pour que, lorsque
le dialogue aura lieu, toutes les
organisations représentatives, soient
appelées et non pas simplement les
plus violentes.
d'authentiques étudiants et je suis
intervenu personnellement auprès
du Gouvernement pour que, lorsque
le dialogue aura lieu, toutes les
organisations représentatives, soient
appelées et non pas simplement les
plus violentes.
Le deuxième communiqué tenait
compte de l'élément nouveau
apporté par le discours du Premier
Ministre. Il rappelait l'attachement
de notre organisation à la légalité
républicaine. Il s'agit là non pas
d'une mesure d'opportunité mais
d'une constante de l'attitude de la
C.G.C. contenue dans les principes
que j'énonçais dans un discours-
programme prononcé au congrès
de 1963 . « En premier lieu figure
le respect de la légalité et du droit,
respect par tous, tant par les gou-
vernés que par le gouvernement. »
compte de l'élément nouveau
apporté par le discours du Premier
Ministre. Il rappelait l'attachement
de notre organisation à la légalité
républicaine. Il s'agit là non pas
d'une mesure d'opportunité mais
d'une constante de l'attitude de la
C.G.C. contenue dans les principes
que j'énonçais dans un discours-
programme prononcé au congrès
de 1963 . « En premier lieu figure
le respect de la légalité et du droit,
respect par tous, tant par les gou-
vernés que par le gouvernement. »
Le bureau a également regretté
que << les mesures gouvernemen-
tales aient été prises si tardivement
que << les mesures gouvernemen-
tales aient été prises si tardivement
et, qu'une fois de plus, les pro-
blèmes soient traités sous la pres-
sion de la violence ». Cela, à mon
avis, est capital. Les cadres amers
et désabusés, constatent qu'en
France un problème n'est pris au
sérieux, qu'il s'agisse des agricul-
teurs, des populations bretonnes
ou des étudiants, que lorsqu'il y a
des manifestations de rues, des
blessés, des voitures incendiées et
des sous-préfectures prises d'as-
saut.
blèmes soient traités sous la pres-
sion de la violence ». Cela, à mon
avis, est capital. Les cadres amers
et désabusés, constatent qu'en
France un problème n'est pris au
sérieux, qu'il s'agisse des agricul-
teurs, des populations bretonnes
ou des étudiants, que lorsqu'il y a
des manifestations de rues, des
blessés, des voitures incendiées et
des sous-préfectures prises d'as-
saut.
Les cadres se posent la question
suivante : faudra-t-il, nous aussi, en
arriver là ? Et certains se deman-
dent si nous nei devrons pas au
mois de septembre préparer l'oc-
cupation des voies publiques au cas
où nos justes revendications reste-
raient lettre morte.
suivante : faudra-t-il, nous aussi, en
arriver là ? Et certains se deman-
dent si nous nei devrons pas au
mois de septembre préparer l'oc-
cupation des voies publiques au cas
où nos justes revendications reste-
raient lettre morte.
Enfin, pour bien marquer que le
but du Bureau était d'affirmer notre
propre position concernant les pro-
blèmes de la jeunesse estudiantine,
il a demandé aux adhérents « de
ne pas participer aux manifestations
décidées par des organisations syn-
dicales influencées par des partis
politiques ».
but du Bureau était d'affirmer notre
propre position concernant les pro-
blèmes de la jeunesse estudiantine,
il a demandé aux adhérents « de
ne pas participer aux manifestations
décidées par des organisations syn-
dicales influencées par des partis
politiques ».
Si l'on a présentes à l'esprit ces
considérations, il est évident que
le sens de l'arrêt de travail recom-
mandé à nos fédérations, syndicats
et unions, laissés libres, du
d'en définir la durée, après
pris toutes les mesures pour
considérations, il est évident que
le sens de l'arrêt de travail recom-
mandé à nos fédérations, syndicats
et unions, laissés libres, du
d'en définir la durée, après
pris toutes les mesures pour
tenir intact le potentiel de produc-
tion, était bien un dernier avertisse-
ment aux Pouvoirs publics de pren-
dre garde à la colère des cadres.
C'était également l'expression de
notre volonté de voir réformer l'Uni-
versité et ses programmes afin de
les adapter aux réalités actuelles et
de mettre en place une politique ac-
tive de l'emploi, aussi bien pour les
étudiants, futurs cadres, que pour
les cadres en exercice. La C.G.C. a,
d'ailleurs, déclaré très nettement
qu'elle entendait apporter son
concours à la recherche de solu-
tions valables, ainsi que son aide
aux étudiants pour qu'ils puissent
s'insérer dans la société contem-
poraine.
tion, était bien un dernier avertisse-
ment aux Pouvoirs publics de pren-
dre garde à la colère des cadres.
C'était également l'expression de
notre volonté de voir réformer l'Uni-
versité et ses programmes afin de
les adapter aux réalités actuelles et
de mettre en place une politique ac-
tive de l'emploi, aussi bien pour les
étudiants, futurs cadres, que pour
les cadres en exercice. La C.G.C. a,
d'ailleurs, déclaré très nettement
qu'elle entendait apporter son
concours à la recherche de solu-
tions valables, ainsi que son aide
aux étudiants pour qu'ils puissent
s'insérer dans la société contem-
poraine.
Il ne peut donc s'agir, dans notre
esprit, d'appuyer des mouvements
anarchistes ou nihilistes qui, au sur-
plus, accusent calomnieusement les
cadres d'exploiter la classe ou-
vrière. Nous sommes des réforma-
teurs, nous ne sommes pas des
révolutionnaires, car nous savons
que les révolutions, en voulant aller
trop vite, provoquent le plus sou-
vent des contre-révolutions et toute
ngtre Histoire est derrière nous
pour nous enseigner qu'il n'y a ni
jolie contre-révolution, ni jolie révo-
lution.
esprit, d'appuyer des mouvements
anarchistes ou nihilistes qui, au sur-
plus, accusent calomnieusement les
cadres d'exploiter la classe ou-
vrière. Nous sommes des réforma-
teurs, nous ne sommes pas des
révolutionnaires, car nous savons
que les révolutions, en voulant aller
trop vite, provoquent le plus sou-
vent des contre-révolutions et toute
ngtre Histoire est derrière nous
pour nous enseigner qu'il n'y a ni
jolie contre-révolution, ni jolie révo-
lution.
(1) Le texte intégral de ces com-
muniqués est pub Me par ailleurs.
muniqués est pub Me par ailleurs.
André MuIterre
Le port et les collines proches
de Marseille où s'est tenu récem-
ment le Congrès de la Fédération
de la Métallurgie. (Compte rendu
en pages 4 et 5.)
de Marseille où s'est tenu récem-
ment le Congrès de la Fédération
de la Métallurgie. (Compte rendu
en pages 4 et 5.)
i&^SSeï
&jrf&.
r.**'
:r^r—ra-;^^
Devant les étudiants en Droit d'Orléans
M. André Malterre définit l'avenir des cadres
M. André Malterre définit l'avenir des cadres
HOTK de 1 Association corporative de.s KtudianN en 1 Voit
et sciences économiques d'Orléans. M. André Mal terre a
présenté le '25 avril une conlereiu-e sur « l'avenir des
cadres ». Au premier rang de la trè,s nombreuse assistance com-
posée en quasi-totalité d'étudiants avaient pris place MM. Alfan-
dari. directeur du collège juridique universitaire : Becq. chef
de cabinet du recteur ; Baranger. président de la Corpo Orlean —
Droit ; Dupont, président de l'I'nion régionale de la C.(i.C.. etc.
et sciences économiques d'Orléans. M. André Mal terre a
présenté le '25 avril une conlereiu-e sur « l'avenir des
cadres ». Au premier rang de la trè,s nombreuse assistance com-
posée en quasi-totalité d'étudiants avaient pris place MM. Alfan-
dari. directeur du collège juridique universitaire : Becq. chef
de cabinet du recteur ; Baranger. président de la Corpo Orlean —
Droit ; Dupont, président de l'I'nion régionale de la C.(i.C.. etc.
D'emblée, M. Malterre définit le
cadre comme « un salarié avant des
fonctions de commandement, de res-'
ponsabilité ou d'initiative, et exer-
çant une délégation patronale ». Puis
il analysa les raisons profondes qui
expliquent l'existence d'un syndica-
lisme propre aux cadres et coïncident
avec l'histoire de la C.G.C.. « qui
préfère les solutions paritaires ou la
concertation plutôt que le recour-; à
l'Etat, fâcheuse habitude des Fran-
çais ».
cadre comme « un salarié avant des
fonctions de commandement, de res-'
ponsabilité ou d'initiative, et exer-
çant une délégation patronale ». Puis
il analysa les raisons profondes qui
expliquent l'existence d'un syndica-
lisme propre aux cadres et coïncident
avec l'histoire de la C.G.C.. « qui
préfère les solutions paritaires ou la
concertation plutôt que le recour-; à
l'Etat, fâcheuse habitude des Fran-
çais ».
Après un rappel de> réalisations
majeures de la C.G.C.. l'orateur, fai-
sant allusion à l'Europe fie demain,
souligna la nécessité d'une formation
permanente et du recyclage : « 1 Etat.
l'Université et les grandes écoles
doivent y participer, et cela découle
de la coopération qui s amorce entre
rt_inh er-îté et le monde écnnomi-
majeures de la C.G.C.. l'orateur, fai-
sant allusion à l'Europe fie demain,
souligna la nécessité d'une formation
permanente et du recyclage : « 1 Etat.
l'Université et les grandes écoles
doivent y participer, et cela découle
de la coopération qui s amorce entre
rt_inh er-îté et le monde écnnomi-
'IIU> "'
Dan* l'économie He intimement ou
nous entrons, poursuivit M. Mal ter-
re, il importe de modifier profondé-
ment la conception actuelle de la
hiérarchie, basée sur le commande-
ment détenu par un seul homme. Il
faut aussi abandonner la notion pé-
re, il importe de modifier profondé-
ment la conception actuelle de la
hiérarchie, basée sur le commande-
ment détenu par un seul homme. Il
faut aussi abandonner la notion pé-
rimée du « secret des affai res »
pour que les cadres .-oient de*soiinai-
etroitiMTient associés aux problèmes
de gestion.
pour que les cadres .-oient de*soiinai-
etroitiMTient associés aux problèmes
de gestion.
Puis M. Malterre souligna le sou-
ci qui doit être celui des cadres de
jouer un rôle dans la vie nationale
en tant que citoyens. Les cadres,
précisa-t-il. doivent prendre position
dans les grands problèmes ;iu côte
des autre- élites ouvrières. p;t\.--in-
né- et patronales du pays.
ci qui doit être celui des cadres de
jouer un rôle dans la vie nationale
en tant que citoyens. Les cadres,
précisa-t-il. doivent prendre position
dans les grands problèmes ;iu côte
des autre- élites ouvrières. p;t\.--in-
né- et patronales du pays.
V la différence des technocrates
qui exercent des pouvoirs en coulis-
se, -ans aucun mandat, sans asMi-
m c r aucune responsa bi 1 i t é po I i t i q u e
et qui se substitue ni aux politiciens.
le- cadres doivent s efforcer d'agir
en prise directe av ec le réel.
qui exercent des pouvoirs en coulis-
se, -ans aucun mandat, sans asMi-
m c r aucune responsa bi 1 i t é po I i t i q u e
et qui se substitue ni aux politiciens.
le- cadres doivent s efforcer d'agir
en prise directe av ec le réel.
Kn fin. M. Ma lierre conclut en e\-
priman I *a confiance clans l";n cuir
a ht condition que les forces \ i\ e-
de la ci\ ilisation humaniste qui est
la nôtre œuvrent pour une Europe
économique e[ prospère, mais au--i
culturelle et heureuse.
priman I *a confiance clans l";n cuir
a ht condition que les forces \ i\ e-
de la ci\ ilisation humaniste qui est
la nôtre œuvrent pour une Europe
économique e[ prospère, mais au--i
culturelle et heureuse.
De très chaleureux applaudis-e-
ment s ponctuèrent cette conférence
qui fut suivie d'un débat.
ment s ponctuèrent cette conférence
qui fut suivie d'un débat.
« Paradis Retrouvé »
COTE BASQUE
PAYS BASQUE
PAYS BASQUE
Mer Vivifiante et Montagne Apaisante
Le chapelet de ses plages
pour tous les goûts :
HOSSEGOR - CAPBRETON - BAYONNE
ANGLET — BIARRITZ — BIDART
GUETHARY — SAINT - JEAN - DE - LUZ
HOSSEGOR - CAPBRETON - BAYONNE
ANGLET — BIARRITZ — BIDART
GUETHARY — SAINT - JEAN - DE - LUZ
CIBOURE — HENDAYE
Ses villages basques en fête :
ASCAIN — BAIGORRY — CAMBO —
ESPELETTE — HASPARREN — LICQ-
ATHEREY — LOUHOSSOA — MAULEON
— SAINT-JEAN-PIED-DE-PORT —
SAINT-PALAIS — SAINT-PEE — SARE
SAINT-PALAIS — SAINT-PEE — SARE
— TARDETS — URRUGNE — URT —
USTARITZ
Renseignements : Comité de Coordination Touristique
Cité Administrative - BIARRITZ et S.l. locaux
Cité Administrative - BIARRITZ et S.l. locaux
M. Maurice Tissot
à Limoges
à Limoges
E passage a Limoges, où il
participait au congrès de la
Mutuelle Civile de la Guer-
re, M. Maurice Tissot, vice-prési-
dent de lu Confédération Générale
des Cadres et président de la Fé-
dération Française des Cadres de
la Fonction Publique a tenu le 3
mai, au siège de l'Union Régionale
de la Confédération Générale des
Cadres, une réunion au cours de
laquelle il a traité les problèmes
très importants intéressant les
fonctionnaires dans la conjoncture
actuelle et a mis les nombreu.1
cadres présents au courant des
derniers développements des pour-
parlers en cours, touchant la grave
question de la revalorisation de
la Fonction Publique.
participait au congrès de la
Mutuelle Civile de la Guer-
re, M. Maurice Tissot, vice-prési-
dent de lu Confédération Générale
des Cadres et président de la Fé-
dération Française des Cadres de
la Fonction Publique a tenu le 3
mai, au siège de l'Union Régionale
de la Confédération Générale des
Cadres, une réunion au cours de
laquelle il a traité les problèmes
très importants intéressant les
fonctionnaires dans la conjoncture
actuelle et a mis les nombreu.1
cadres présents au courant des
derniers développements des pour-
parlers en cours, touchant la grave
question de la revalorisation de
la Fonction Publique.
BIBLIOGRAPHIE
« Formation continue »
VOUS ayons récemment reçu
les deux premières livrai-
sons de « Formation conti-
nue. », éditée en commun par le
Centre Interentreprises de Forma-
tion et d'Etudes Supérieures In-
dustrielles (C.I.F.) à l'intention de
ses adhérents et de ses anciens
élèves, et le S.l.D.A. qui en fail
un supplément trimestriel aux
« Informations S.l.D.A. », revue
de presse sur l'ensemble des ques-
tions d'enseignement et de forma-
tion professionnels.
les deux premières livrai-
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dustrielles (C.I.F.) à l'intention de
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élèves, et le S.l.D.A. qui en fail
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Ce document est destiné à sen-
sibiliser les cadres aux problèmes
posés par l'éducation permanente
et à leur apporter des réponses
aux questions qu'ils se posent. Il
comporte : des articles de ré-
flexions sur la formation continue,
des monographies de réalisation
et une rubrique sur le perfection-
nement personnel des cadres.
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l'abonnement (8 numéros), 12 F ;
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Hénin 23 rue de la Ville l'Evéque,
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BANQUE DE LA HËNIN
CONFERENCES-DEBATS DES CADRES
ET AGENTS DE MAITRISE
DE L'EDITION
= SAMEDI 22 JL'IN - CENTRE CULTUREL DE ROYAUMONT
E i) h. 30 La conférence de clôture du cycle des conférenees-
E débats 1968 (organisée par différentes organisations.
E dont le Syndicat des Arts Graphiques C.G.C.), sera
= prononcée par M. Jean Fourastié, professeur an
5 Conservatoire national des Arts et Métiers. Le débat
E qui suivra sera animé par le conférencier et
E MM. Jean Hassendorfer, docteur en pédagogie ;
Ë François Gauchet, chef du service de psychologie
= appliquée de l'Association française pour l'accrois-
5 sèment de la productivité ; Robert Offrey. conseiller
5 financier, docteur en droit.
E L'après-midi, les paiticipants organiseront librement carre-
E fours, discussions, échanges de vues jusqu'à 17 h.
E (Frais de participation : 40 F, comprenant la location de la
E salle, le déjeuner, vin et café compris.)
Ë Avis important : l'inscription ne sera enregistrée qu'aecompa-
= gnée de son règlement par chèque postal au C.C.P. : n" 463-73
=; Paris ; ou par chèque bancaire à l'ordre de : « Tous poui
S l'amour du livre •.
E Les inscriptions sont à adresser avant le 31 mai 1968 au Cer-
= clé de la Librairie (service des Cours). 117, bd Saint-Ger-
E main, Palis (VI"). Indiquer : nom de l'auditeur et firme à
™ laquelle il appartient.
L'activité de l'Union des Syndicats
de Cadres du Cambrésis
de Cadres du Cambrésis
LES cadres C.G.C. «lu Cambrésis ont tenu récemment leur
assemblée générale. Tnc importante délégation catesiennc
E assistait à cette réunion.
assemblée générale. Tnc importante délégation catesiennc
E assistait à cette réunion.
M. Dclt-nie. président. rappela
fat-lion de la Confédération Géné-
rale :lc-s Cadres sur le plan national,
puis évoqua le rôle et l'esprit du ca-
dre dans son entreprise, les visites
d'usine-, l'entretien [l'une délégation
mer M. Senié. nouveau -ous-préfe!
de Cambrai.
fat-lion de la Confédération Géné-
rale :lc-s Cadres sur le plan national,
puis évoqua le rôle et l'esprit du ca-
dre dans son entreprise, les visites
d'usine-, l'entretien [l'une délégation
mer M. Senié. nouveau -ous-préfe!
de Cambrai.
M. Chinot. délégué au Comité
d'expansion économique où il pré-
side la eommi-sion de l'emploi, ex-
pixsa la situation de l'emploi et les
d'expansion économique où il pré-
side la eommi-sion de l'emploi, ex-
pixsa la situation de l'emploi et les
SYNDICAT NATIONAL DES CADRES
DE DIRECTION ET DE MAITRISE
DE DIRECTION ET DE MAITRISE
DES TRANSPORTS
CONVENTION COLLECTIVE
(annexe 3)
A LA suite d'une réunion paritaire
tenue au ministère des Trans-
ports le 15 mars, a été signé
un avenant numéro 18 augmentant les
salaires garantis aux techniciens et
agents de maîtrise.
tenue au ministère des Trans-
ports le 15 mars, a été signé
un avenant numéro 18 augmentant les
salaires garantis aux techniciens et
agents de maîtrise.
A compter du l" mars 1968, les
barèmes en vigueur depuis le l"r sep-
tembre 1967 sont majorés de 3 %.
barèmes en vigueur depuis le l"r sep-
tembre 1967 sont majorés de 3 %.
Une nouvelle augmentation de 2 %
de ces nouveaux salaires garantis en-
trera en application le l"r octobre
1968.
de ces nouveaux salaires garantis en-
trera en application le l"r octobre
1968.
Ces barèmes sont tenus gratuite-
ment a la disposition de nos adhérents
sur demande adressée à notre siège,
30, rue de Grarnont, Paris (2').
ment a la disposition de nos adhérents
sur demande adressée à notre siège,
30, rue de Grarnont, Paris (2').
perspectives : situation des jeunes.
de- sections d'éducation profession-
nelle, des problèmes du bâtiment,
du Iraiail féminin, etc.
de- sections d'éducation profession-
nelle, des problèmes du bâtiment,
du Iraiail féminin, etc.
M. Blot. président du Conseil d'ad-
ministration de la caisse primaire
maladie de Cambrai, parla du fonr-
lionnement de la caisse, du rôle du
Conseil et des administrateurs.
ministration de la caisse primaire
maladie de Cambrai, parla du fonr-
lionnement de la caisse, du rôle du
Conseil et des administrateurs.
M. Le Minez, administrateur de
la Caisse d'allocations familiales,
donna ensuite rapport de son man-
dat.
la Caisse d'allocations familiales,
donna ensuite rapport de son man-
dat.
Puis on pa.ssa aux questions di-
verses avec des interventions de
MM. Valseur, Poblon. Ledieu. etc..
sur le recrutement, les cotisations.
l'APEC. le rapprochement avec les
Unions du sud du département. le
perfectionnement...
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MM. Valseur, Poblon. Ledieu. etc..
sur le recrutement, les cotisations.
l'APEC. le rapprochement avec les
Unions du sud du département. le
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Au total, une assemblée fruc-
tueuse pour tous les participants.
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VINS DE BORDEAUX
La Maison de confiance
fondée en 1904
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33-MARGAUX - MEDOC.
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Tarif gratuit sur -demande
(se recommander du journal)
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Tél. : 36-28-48 et
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LE CONSEIL ECONOMIQUE EXAMINE
LE PROBLEME DE LA TELEVISION
LE PROBLEME DE LA TELEVISION
LA dernière session du Conseil Economique et Social était consa-
crée pour une large part à l'examen du problème de la télé-
vision. La préparation du rapport sur cette question avait été
confiée à une commission spéciale, qui avait choisi M. André Malterre
comme président et M. André Aumônier pour rapporteur.
crée pour une large part à l'examen du problème de la télé-
vision. La préparation du rapport sur cette question avait été
confiée à une commission spéciale, qui avait choisi M. André Malterre
comme président et M. André Aumônier pour rapporteur.
Le projet d'avis concluait :
— à la réforme du statut de l'O.R.T.F. pour donner plus d'indépen-
dance à l'Office ;
dance à l'Office ;
— à la spécialisation de la 3e chaîne à venir pour la télévision
scolaire, la formation professionnelle et la promotion sociale ;
scolaire, la formation professionnelle et la promotion sociale ;
— à la nécessité de confier la gestion de la 4e et dernière chaîne
à un organisme indépendant associant éventueUement la presse
à la réalisation et au fonctionnement de cette 4* chaîne, celle-ci
étant financée notamment par la publicité ;
à un organisme indépendant associant éventueUement la presse
à la réalisation et au fonctionnement de cette 4* chaîne, celle-ci
étant financée notamment par la publicité ;
— à l'inopportunité d'introduire actuellement la publicité de mar-
ques sur les deux chaînes en fonctionnement.
ques sur les deux chaînes en fonctionnement.
M. HP. Le Ferme devait présenter
au cours de la discussion générale
le point de vue de la C.G.C. :
au cours de la discussion générale
le point de vue de la C.G.C. :
L'INTERVENTION
DE M. LE FERME
DE M. LE FERME
« II n'y a pas de véritable liberté
sans information, et la manière dont
sont effectués les sondages d'opinion
nous en apporte presque chaque jour
la démonstration. Poser une question
pour obtenir une réponse par « oui »
ou par « non » alors que l'interrogé
n'a aucune information objective sur
les avantages et les inconvénients des
différentes solutions proposées, est la
négation même, malgré les apparences,
de la liberté de choix.
sans information, et la manière dont
sont effectués les sondages d'opinion
nous en apporte presque chaque jour
la démonstration. Poser une question
pour obtenir une réponse par « oui »
ou par « non » alors que l'interrogé
n'a aucune information objective sur
les avantages et les inconvénients des
différentes solutions proposées, est la
négation même, malgré les apparences,
de la liberté de choix.
Or, il n'est pas une seule orga-
nisation représentée dans cette Assem-
blée qui n'ait quelque raison sérieuse
de se plaindre de la manière dont la
télévision informe sur les questions
éducatives, culturelles, économiques et
sociales et 'le rapporteur a donc eu
raison de consacrer dans le rapport
et le projet d'avis une partie impor-
tante à cette question de l'information
économique et de la formation écono-
mique et professionnelle.
nisation représentée dans cette Assem-
blée qui n'ait quelque raison sérieuse
de se plaindre de la manière dont la
télévision informe sur les questions
éducatives, culturelles, économiques et
sociales et 'le rapporteur a donc eu
raison de consacrer dans le rapport
et le projet d'avis une partie impor-
tante à cette question de l'information
économique et de la formation écono-
mique et professionnelle.
Il est tout d'abord indiscutable que
la place réservée à cette informa'tion
et à cette formation économique est
insuffisante. Nous souscrivons donc
entièrement à ce qui a été suggéré
par le rapporteur à cet égard.
la place réservée à cette informa'tion
et à cette formation économique est
insuffisante. Nous souscrivons donc
entièrement à ce qui a été suggéré
par le rapporteur à cet égard.
L'objectivité de l'information éco-
nomique et sociale n'est, certes, pas
une chose facile, mais il y a cepen-
dant moyen d'y atteindre en permet-
tant, lorsque l'on ouvre devant le
téléspectateur un « dos-sier > écono-
mique et social, à toutes les organisa-
tions syndicales et professionnelles in-
téressées par la question de discuter
publiquement les éléments du problè-
me, "la controverse pouvant être d'ail-
leurs l'un des moyens, entre autres,
d'intéresser le téléspectateur au dé-
bat. Or, à cet égard, aucune tentative
honnête n'a jamais été faite.
nomique et sociale n'est, certes, pas
une chose facile, mais il y a cepen-
dant moyen d'y atteindre en permet-
tant, lorsque l'on ouvre devant le
téléspectateur un « dos-sier > écono-
mique et social, à toutes les organisa-
tions syndicales et professionnelles in-
téressées par la question de discuter
publiquement les éléments du problè-
me, "la controverse pouvant être d'ail-
leurs l'un des moyens, entre autres,
d'intéresser le téléspectateur au dé-
bat. Or, à cet égard, aucune tentative
honnête n'a jamais été faite.
Lorsque le Gouvernement, par exem-
ple, par l'une ou l'autre de ses voix
les plus autorisées, expose aux télé-
spectateurs les données de la conjonc-
ture économique, la possibilité n'est
jamais offerte à ceux qui représen-
tent les travailleurs, les chefs d'entre-
prise, les régions ou les consomma-
ple, par l'une ou l'autre de ses voix
les plus autorisées, expose aux télé-
spectateurs les données de la conjonc-
ture économique, la possibilité n'est
jamais offerte à ceux qui représen-
tent les travailleurs, les chefs d'entre-
prise, les régions ou les consomma-
teurs de donner leur point de vue sur
les analyses gouvernementales
les analyses gouvernementales
L'on semble déplorer, d'une maniè-
re générale, l'audience trop limitée
des organisations syndicales ou pro-
fessionnelles ; on regrette, par exem-
ple, le faible taux de syndicalisation
des travailleurs français, mais il y a,
dans cette attitude, une très large
part d'hypocrisie. Que fait-on, en
effet, pour accroître cette audience
et intéresser les salariés à la vie de
leurs organisations ? En répondant :
« rien » l'on exprime malheureuse-
ment la réalité. Et bien entendu, la
Confédération Générale des Cadres,
comme d'autres organisations, est vic-
time de cet ostracisme.
re générale, l'audience trop limitée
des organisations syndicales ou pro-
fessionnelles ; on regrette, par exem-
ple, le faible taux de syndicalisation
des travailleurs français, mais il y a,
dans cette attitude, une très large
part d'hypocrisie. Que fait-on, en
effet, pour accroître cette audience
et intéresser les salariés à la vie de
leurs organisations ? En répondant :
« rien » l'on exprime malheureuse-
ment la réalité. Et bien entendu, la
Confédération Générale des Cadres,
comme d'autres organisations, est vic-
time de cet ostracisme.
Un tel comportement met en cause
le statut même de notre Office de
la Radio et de la Télévision.
le statut même de notre Office de
la Radio et de la Télévision.
Ce statut n'apporte aucune garantie
d'objectivité et M est, à nos yeux, in-
défendable. Le monopole d'Etat n'est
acceptable que s'il est une garantie
d'objectivité, d'impartialité, de loyauté
et de qualité. Il crée moins de droits
que de devoirs et l'Etat qui bénéficie
de ce monopole doit avoir une très
haute idée des impératifs qu'il lui
impose.
d'objectivité et M est, à nos yeux, in-
défendable. Le monopole d'Etat n'est
acceptable que s'il est une garantie
d'objectivité, d'impartialité, de loyauté
et de qualité. Il crée moins de droits
que de devoirs et l'Etat qui bénéficie
de ce monopole doit avoir une très
haute idée des impératifs qu'il lui
impose.
Or, malheureusement, la réalité est
tout autre. Le monopole d'Etat tend,
au contraire, à faire de la télévision
un moyen privilégié de propagande
partisane.
tout autre. Le monopole d'Etat tend,
au contraire, à faire de la télévision
un moyen privilégié de propagande
partisane.
C'est la raison pour laquelle il ap-
paraît aujourd'hui comme une évi-
dence que le monopole n'apportant
pas les garanties qu'il devrait appor-
ter, seul le pluralisme peut être en
mesure d'assurer la diversité de l'in-
formation et, par là même, son objec-
tivité. C'est grâce à la pluralité des
organes de Presse et à la concurrence
qui existe entre eux que l'information
écrite maintient encore une certaine
liberté d'expression.
paraît aujourd'hui comme une évi-
dence que le monopole n'apportant
pas les garanties qu'il devrait appor-
ter, seul le pluralisme peut être en
mesure d'assurer la diversité de l'in-
formation et, par là même, son objec-
tivité. C'est grâce à la pluralité des
organes de Presse et à la concurrence
qui existe entre eux que l'information
écrite maintient encore une certaine
liberté d'expression.
D'ailleurs, le monopole de la télé-
vision subsistera-t-il longtemps ?
Déjà ceux qui habitent les départe-
ments frontaliers peuvent capter des
émissions belges, luxembourgeoises,
suisses, allemandes, italiennes ou mo-
négasques. Le progrès technique effa-
vision subsistera-t-il longtemps ?
Déjà ceux qui habitent les départe-
ments frontaliers peuvent capter des
émissions belges, luxembourgeoises,
suisses, allemandes, italiennes ou mo-
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terrestres
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PERSEE n'est pas un appareil
de maniement complexe, rebu-
tant pour un profane. Il pas-
sionne aussi bien le spécialiste
des recherches astrales, terres-
tres ou maritimes, que le simple
amateur qui veut s'initier à la
splendeur des étoiles, entrevoir
la Planète MARS et profiter
de la séduction des sites loin-
tains, sur mer ou sur terre.
de maniement complexe, rebu-
tant pour un profane. Il pas-
sionne aussi bien le spécialiste
des recherches astrales, terres-
tres ou maritimes, que le simple
amateur qui veut s'initier à la
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la Planète MARS et profiter
de la séduction des sites loin-
tains, sur mer ou sur terre.
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GNESIUM.
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l'intimité des gens qui habitent à
l'autre bout de la ville, de votre
maison de campagne vous analy-
serez tout près, le comportement
des oiseaux et des animaux sau-
vages, sur le rivage vous participe-
rez à la vie de bord des passagers
des bateaux. La longue-vue PER-
SEE sera pour vous une source de
joie permanente et de découvertes
sans cesse renouvelées.
PERSEE, vous pénétrerez <jans
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EXPLOREZ, SANS VOUS
DÉPLACER, LA GRANDE
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comparable et un pouvoir de
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(Dépt. P cr 3) - PARIS (9-)
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cera rapidement les frontières qui
existent encore entre les ondes. La
concurrence sera ce jour-là un fait
dont il faudra tenir compte, comme
la radio a dû tenir compte de la
réalité que constituent les postes péri-
phériques.
existent encore entre les ondes. La
concurrence sera ce jour-là un fait
dont il faudra tenir compte, comme
la radio a dû tenir compte de la
réalité que constituent les postes péri-
phériques.
Dans l'immédiat, il faut apporter
au statut et aux méthodes de l'O.R.
T.F. les modifications fondamentales
qu'imposé la nécessaire objectivité de
l'information. La composition actuel-
le du conseil d'administration et du
comité des programmes n'apporte
pratiquement aucune garantie aux
organisations syndicales, sociales ou
professionnelles. Celles-ci devraient y
être largement représentées et pou-
voir y faire entendre très haut leur
voix. Il faut aussi qu'elles puissent
bénéficier, comme les partis politi-
ques ou les groupes parlementaires
appartenant ou non à l'opposition,
d'une sorte de statut leur assurant un
minimum de moyens d'expression à
la télévision.
au statut et aux méthodes de l'O.R.
T.F. les modifications fondamentales
qu'imposé la nécessaire objectivité de
l'information. La composition actuel-
le du conseil d'administration et du
comité des programmes n'apporte
pratiquement aucune garantie aux
organisations syndicales, sociales ou
professionnelles. Celles-ci devraient y
être largement représentées et pou-
voir y faire entendre très haut leur
voix. Il faut aussi qu'elles puissent
bénéficier, comme les partis politi-
ques ou les groupes parlementaires
appartenant ou non à l'opposition,
d'une sorte de statut leur assurant un
minimum de moyens d'expression à
la télévision.
J'en viens au problème de l'intro-
duction de la publicité de marques
à la télévision. Calle-d pose de mul-
tiples problèmes qui ont été très bien
analysés par le rapporteur. Que l'on
ne s'étonne pas, après ce que je
viens de dire de l'absence d'objec-
tivité à la télévision en matière d'in-
formation économique et sociale, que
nous soyons très attachés au main-
tien de conditions économiques per-
mettant à la presse de continuer à
jouer son rôle. Les propositions figu-
rant à cet égard dans le rapport et
dans l'avis recueillent notre entière
adhésion.
duction de la publicité de marques
à la télévision. Calle-d pose de mul-
tiples problèmes qui ont été très bien
analysés par le rapporteur. Que l'on
ne s'étonne pas, après ce que je
viens de dire de l'absence d'objec-
tivité à la télévision en matière d'in-
formation économique et sociale, que
nous soyons très attachés au main-
tien de conditions économiques per-
mettant à la presse de continuer à
jouer son rôle. Les propositions figu-
rant à cet égard dans le rapport et
dans l'avis recueillent notre entière
adhésion.
D'une manière générale, l'introduc-
tion de la publicité de marques à la
télévision ne doit pas être considé-
rée comme souhaitable. Au demeurant,
la nécessité de cette mesure n'a pas
été clairement démontrée par ceux
qui la proposent. La publicité ne
peut être acceptée qu'à contrecœur,
car elle constituera une contrainte
très grave pour le téléspectateur, d'au-
tant qu'il n'est pas question de dimi-
nuer la taxe payée par celui-ci.
tion de la publicité de marques à la
télévision ne doit pas être considé-
rée comme souhaitable. Au demeurant,
la nécessité de cette mesure n'a pas
été clairement démontrée par ceux
qui la proposent. La publicité ne
peut être acceptée qu'à contrecœur,
car elle constituera une contrainte
très grave pour le téléspectateur, d'au-
tant qu'il n'est pas question de dimi-
nuer la taxe payée par celui-ci.
Il faut être, en outre, attentifs aux
intérêts des consommateurs puisque
la télévision ne devrait plus .s'adres-
ser seulement aux téléspectateurs pour
les distraire, les informer ou les cul-
tiver mais pour exercer une pression
intérêts des consommateurs puisque
la télévision ne devrait plus .s'adres-
ser seulement aux téléspectateurs pour
les distraire, les informer ou les cul-
tiver mais pour exercer une pression
afin de leur faire acheter des pro-
duits ou leur faire utiliser des ser-
vices.
duits ou leur faire utiliser des ser-
vices.
Nous avons été amenés à déposer
quelques amendements visant à pré-
ciser ce que devrait être à notre avis
une bonne information du consomma-
teur, pour lui assurer aussi certaines
garanties car, si des règles s'imposent
à cet égard à la publicité utilisant
d'autres supports (presse, affiches,
cinéma), il serait le cas échéant in-
convenable que ces règles ne soient
pas imposées à la publicité à la télé-
vision.
quelques amendements visant à pré-
ciser ce que devrait être à notre avis
une bonne information du consomma-
teur, pour lui assurer aussi certaines
garanties car, si des règles s'imposent
à cet égard à la publicité utilisant
d'autres supports (presse, affiches,
cinéma), il serait le cas échéant in-
convenable que ces règles ne soient
pas imposées à la publicité à la télé-
vision.
Nos réserves quant à l'introduction
de la publicité de marques à la télé-
vision sont donc des plus sérieuses.
de la publicité de marques à la télé-
vision sont donc des plus sérieuses.
Notre Assemblée n'a-t-elle pas voca-
tion de conseiller le Gouvernement ?
Avant de prendre sa décision définiti-
ve, celui-ci ne pourra pas ignorer l'avis
que nous allons formuler.
tion de conseiller le Gouvernement ?
Avant de prendre sa décision définiti-
ve, celui-ci ne pourra pas ignorer l'avis
que nous allons formuler.
Espérons qu'il s'en inspirera très
largement s'il veut, comme nous le
souhaitons nous-mêmes, selon l'excel-
lente formule de l'avis, que la télé-
vision puisse être non seulement un
facteur d'unité du monde permettant
une meilleure compréhension des peu-
ples, mais aussi un moyen d'unité de
notre pays par une compréhension
plus grande des Français. »
largement s'il veut, comme nous le
souhaitons nous-mêmes, selon l'excel-
lente formule de l'avis, que la télé-
vision puisse être non seulement un
facteur d'unité du monde permettant
une meilleure compréhension des peu-
ples, mais aussi un moyen d'unité de
notre pays par une compréhension
plus grande des Français. »
La C.G.C. avait déposé trois amen-
dements importants concernant les
garanties à apporter aux consomma-
teurs en cas d'introduction de la
publicité des marques à la télévision.
dements importants concernant les
garanties à apporter aux consomma-
teurs en cas d'introduction de la
publicité des marques à la télévision.
Ces amendements ont été votés par
l'ensemble du Conseil Economique et
Social.
l'ensemble du Conseil Economique et
Social.
Le Groupe de la Confédération
Générale des Cadres a apporté son
total appui à deux amendements :
l'un déposé par la C.F.D.T. tendant
à refuser l'introduction de la publi-
cité à la télévision, l'autre déposé par
« Force-Ouvrière », demandant que
les garanties à apporter aux téléspec-
tateurs et à la presse en cas d'in-
troduction de la publicité, le soient
par un texte législatif. Malheureuse-
ment ces deux amendements n'ont
pas obtenu de majorité au sein du
Conseil
Générale des Cadres a apporté son
total appui à deux amendements :
l'un déposé par la C.F.D.T. tendant
à refuser l'introduction de la publi-
cité à la télévision, l'autre déposé par
« Force-Ouvrière », demandant que
les garanties à apporter aux téléspec-
tateurs et à la presse en cas d'in-
troduction de la publicité, le soient
par un texte législatif. Malheureuse-
ment ces deux amendements n'ont
pas obtenu de majorité au sein du
Conseil
Finalement, c'est pa-r 95 voix contre
48 et 7 abstentions que l'avis pré-
senté par M. André Aumônier a été
adopté.
48 et 7 abstentions que l'avis pré-
senté par M. André Aumônier a été
adopté.
Une Assemblée générale extraordinaire
de l'Union du Jarn-ei-Garonne
de l'Union du Jarn-ei-Garonne
EN première partie de l'Assemblée
générale extraordinaire de l'U.D.
du Tarn-et-Garonne, M. Cousinie,
président, présenta l'activité la plus
récente de l'Union : remise au préfet
et aux parlementaires de la motion
adopté le 2 avril à Pleyel. problème
de stationnement pour les V.R.P.. etc.
Puis, M. Fraysse, vice-président,
après un exposé sur le fonctionne-
ment et l'objectif des C.O.D.E.R.. en-
tretient l'auditoire du futur aména-
gement du complexe de Golfech :
d'une part, une basse chute hydro-
électrique équipée de groupes bulbes
et susceptible d'une productibilité an-
générale extraordinaire de l'U.D.
du Tarn-et-Garonne, M. Cousinie,
président, présenta l'activité la plus
récente de l'Union : remise au préfet
et aux parlementaires de la motion
adopté le 2 avril à Pleyel. problème
de stationnement pour les V.R.P.. etc.
Puis, M. Fraysse, vice-président,
après un exposé sur le fonctionne-
ment et l'objectif des C.O.D.E.R.. en-
tretient l'auditoire du futur aména-
gement du complexe de Golfech :
d'une part, une basse chute hydro-
électrique équipée de groupes bulbes
et susceptible d'une productibilité an-
nuelle de 300 millions de Kwh, d'autre
part la centrale dite « nucléaire »
avec une possibilité de quelque 5 mil-
liards de Kwh annuels par tranche.
part la centrale dite « nucléaire »
avec une possibilité de quelque 5 mil-
liards de Kwh annuels par tranche.
Les avantages économiques et les
problèmes qui se posent furent ensuite
traités et l'intérêt de l'assistance fut
particulièrement décelable à la fin
de l'exposé, lorsque le conférencier
fut assailli de questions auxquelles il
répondit avec brio.
problèmes qui se posent furent ensuite
traités et l'intérêt de l'assistance fut
particulièrement décelable à la fin
de l'exposé, lorsque le conférencier
fut assailli de questions auxquelles il
répondit avec brio.
La prochaine réunion aura lieu, le
samedi 15 juin, sur le thème : « Va-
lorisation du Bassin de la Garonne ».
samedi 15 juin, sur le thème : « Va-
lorisation du Bassin de la Garonne ».
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UNE MUSCULATURE
AUSSI PUISSANTE
QUE CELLE-CI
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membres puissants comme des colonnes; élar-
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des champions olympiques et des athlètes de
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- Bullworker 2.
I
I Nom
• Prénom_
N Dopt
'EST dans les salons style « Napoléon III » du palais du Pharo, à Marseille, et sous l'œil
indifférent de l'impératrice Eugénie, que se sont déroulés les travaux du 23e Congrès
des cadres de la Métallurgie.
indifférent de l'impératrice Eugénie, que se sont déroulés les travaux du 23e Congrès
des cadres de la Métallurgie.
Congrès studieux, attentif, soucieux de réfléchir en profondeur à l'action syndicale
passée et à venir et d'analyser les méthodes à employer pour rendre cette action plus effi-
cace.
passée et à venir et d'analyser les méthodes à employer pour rendre cette action plus effi-
cace.
Le Congrès s'était ouvert sur un émouvant hommage à la mémoire de Robert Gon-
douih, dont chacun ne pouvait s'empêcher d'évoquer le souvenir encore si proche, le revoyant,
l'année précédente, au Havre, où il avait démontré le courage dont il était capable en pré-
sidant « son » Congrès alors qu'il venait à peine de sortir de clinique.
douih, dont chacun ne pouvait s'empêcher d'évoquer le souvenir encore si proche, le revoyant,
l'année précédente, au Havre, où il avait démontré le courage dont il était capable en pré-
sidant « son » Congrès alors qu'il venait à peine de sortir de clinique.
Ces 23e assises avaient inscrit à leur ordre du jour des sujets austères puisque l'un,
présenté par M. Gerin, avait trait aux « conséquences économiques et sociales de la réalisa-
tion de la Communauté Economique Européenne » et l'autre, présenté par M. Mathieu, con-
cernait la gestion du régime de retraite, notamment les possibilités actuelles de réduire les
coefficients d'anticipation en cas de départ à la retraite avant 65 ans. '
présenté par M. Gerin, avait trait aux « conséquences économiques et sociales de la réalisa-
tion de la Communauté Economique Européenne » et l'autre, présenté par M. Mathieu, con-
cernait la gestion du régime de retraite, notamment les possibilités actuelles de réduire les
coefficients d'anticipation en cas de départ à la retraite avant 65 ans. '
Ces deux rapports ont donné lieu à des débats très animés au cours desquels les
cadres de la métallurgie ont eu l'occasion de confirmer leur attachement à la réalisation de
l'unité européenne et à l'achèvement du Marché Commun. D'ailleurs, le président Malterre
était intervenu dans le débat sur l'Europe en confirmant les positions identiques de la C.G.C.
cadres de la métallurgie ont eu l'occasion de confirmer leur attachement à la réalisation de
l'unité européenne et à l'achèvement du Marché Commun. D'ailleurs, le président Malterre
était intervenu dans le débat sur l'Europe en confirmant les positions identiques de la C.G.C.
Les témoins de ce Congrès n'ont pas manqué d'être frappés par le nombre important
de nouveaux délégués traduisant la vitalité des- syndicats de la F.C.M. et le rajeunissement
des adhérents.
de nouveaux délégués traduisant la vitalité des- syndicats de la F.C.M. et le rajeunissement
des adhérents.
A MARSEILLE
L'INTERVENTION DE M. LEON ROBERT
¥ E dois vous dire qu'il me semble un peu prétentieux de parler
**• J d'un rapport d'orientation.
**• J d'un rapport d'orientation.
L'orientation, c'est ce que vous direz et c'est ce que vous
voterez sur un certain nombre de réflexions que j'ai faites depuis le
10 février.
voterez sur un certain nombre de réflexions que j'ai faites depuis le
10 février.
Je ne reviendrai pas sur ce problème de l'élection du 10 février, mais
je crois qu'elle était quelque peu imprévue dans sa solution et il ne
pouvait guère en être autrement, compte tenu des circonstances du décès
du Président Gondouin. Il ne faut donc pas et il ne serait pas honnête
de rechercher des responsabilités qui ne peuvent incomber à personne,
sauf à la mort.
je crois qu'elle était quelque peu imprévue dans sa solution et il ne
pouvait guère en être autrement, compte tenu des circonstances du décès
du Président Gondouin. Il ne faut donc pas et il ne serait pas honnête
de rechercher des responsabilités qui ne peuvent incomber à personne,
sauf à la mort.
Devant la situation qui nous
était faite, il a fallu prendre un
certain nombre de dispositions.
Nous avons voulu réunir une fois
déjà le Bureau, en le faisant coïn-
cider avec une manifestation d? la
Confédération Générale des Cadres
pour ne pas déplacer les gens deux
fois, surtout les représentants de
province : malheureusement, cette
séance n'a pas pu être une séance
3e travail. Nous avons dû nous oc-
cuper ce jour-là de savoir si nous
désignons ou pas un représentant
pour le Conseil Economique et So-
cial.
était faite, il a fallu prendre un
certain nombre de dispositions.
Nous avons voulu réunir une fois
déjà le Bureau, en le faisant coïn-
cider avec une manifestation d? la
Confédération Générale des Cadres
pour ne pas déplacer les gens deux
fois, surtout les représentants de
province : malheureusement, cette
séance n'a pas pu être une séance
3e travail. Nous avons dû nous oc-
cuper ce jour-là de savoir si nous
désignons ou pas un représentant
pour le Conseil Economique et So-
cial.
Mais notre intention est bien de
réunir régulièrement le Bureau. •
réunir régulièrement le Bureau. •
LA FEDERATION
UN BEL ENFANT
UN BEL ENFANT
« En fait, je ne connaissais pas
grand-chose des problèmes de la
Fédération de la Métallurgie, et
pourtant j'ai assisté à sa naissance.
C'est très curieux et ça prouve sans
doute que ça doit être quand même
un bel enfant. Il a énormément de
pères. Je veux dire par là que cha-
cun aujourd'hui revendique comme
un honneur — et je crois que c'est
naturel — le fait d'avoir été là, à
l'époque où la Fédération a pris
naissance.
grand-chose des problèmes de la
Fédération de la Métallurgie, et
pourtant j'ai assisté à sa naissance.
C'est très curieux et ça prouve sans
doute que ça doit être quand même
un bel enfant. Il a énormément de
pères. Je veux dire par là que cha-
cun aujourd'hui revendique comme
un honneur — et je crois que c'est
naturel — le fait d'avoir été là, à
l'époque où la Fédération a pris
naissance.
J'ai recherché un certain nombre
de documents. C'est très amusant.
J'ai donc retrouvé beaucoup de do-
cuments anciens, que nous publie-
rons un jour. Voilà par exemple un
organigramme de ce qui s'appelait
à l'époque la F.G.C.M. et définis-
sant l'organisation syndicale des
cadres en France. Ce document est
daté du 25 janvier 1939. Il prévoyait
déjà un Comité Directeur de la
C.G.C., un Comité Confédéral et
puis également un certain nombre
d'organisations pour la Fédération.
de documents. C'est très amusant.
J'ai donc retrouvé beaucoup de do-
cuments anciens, que nous publie-
rons un jour. Voilà par exemple un
organigramme de ce qui s'appelait
à l'époque la F.G.C.M. et définis-
sant l'organisation syndicale des
cadres en France. Ce document est
daté du 25 janvier 1939. Il prévoyait
déjà un Comité Directeur de la
C.G.C., un Comité Confédéral et
puis également un certain nombre
d'organisations pour la Fédération.
Mieux, dans un numéro d'un
journal qui n'a pas vécu longtemps
et qui s'appelait « Le Fer Lorrain >
journal qui n'a pas vécu longtemps
et qui s'appelait « Le Fer Lorrain >
— je le dédie aux Lorrains qui sont
ici — un article de mars 1937 annon
cait la naissance de la Fédération
Générale des Cadres et Employés
de la Métallurgie, ainsi que la nais-
sance de la Confédération Générale
des Cadres et Employés de l'Indus-
trie Française. C'est ainsi qu'on
l'appelait à l'époque.
ici — un article de mars 1937 annon
cait la naissance de la Fédération
Générale des Cadres et Employés
de la Métallurgie, ainsi que la nais-
sance de la Confédération Générale
des Cadres et Employés de l'Indus-
trie Française. C'est ainsi qu'on
l'appelait à l'époque.
J'ai retrouvé aussi des numéros
du bulletin du S.P.I.D. Les ingé-
nieurs qui étaient syndiqués à
l'époque appartenaient soit au
S.P.I.D., soit au S.I.S et il y avait
la double appartenance, c'est-à-din>
que les ingénieurs pouvaient ap-
partenir à une organisation d'ingé-
nieurs et également à des organisa-
tions verticales, tout comme elles
le sont aujourd'hui.
du bulletin du S.P.I.D. Les ingé-
nieurs qui étaient syndiqués à
l'époque appartenaient soit au
S.P.I.D., soit au S.I.S et il y avait
la double appartenance, c'est-à-din>
que les ingénieurs pouvaient ap-
partenir à une organisation d'ingé-
nieurs et également à des organisa-
tions verticales, tout comme elles
le sont aujourd'hui.
Il y a même là-dedans les statuts
de la F.N.S.I.C. et on retrouve des
tas de noms tels que Galvin, de
Font-Reaulx, etc.
de la F.N.S.I.C. et on retrouve des
tas de noms tels que Galvin, de
Font-Reaulx, etc.
Vous me direz : « Mais qu'est-ce
que cela a à voir avec les ques-
tions qui nous occupent aujour-
d'hui . Eh bien ! je crois au
contraire qu'il est nécessaire de
faire un retour en arrière.
que cela a à voir avec les ques-
tions qui nous occupent aujour-
d'hui . Eh bien ! je crois au
contraire qu'il est nécessaire de
faire un retour en arrière.
Nous avons ressenti — je crois
vous l'avoir dit en Conseil Fédéral
— des difficultés parfois entre in-
génieurs et agents de maîtrise. Je
sais bien que le Président Gon-
douin me disait : • Tu vas trop
loin, tu exagères. En fait il y en n
eu, il n'y en a plus *. C'est tou-
jours facile, voyez-vous, de nier les
problèmes.
vous l'avoir dit en Conseil Fédéral
— des difficultés parfois entre in-
génieurs et agents de maîtrise. Je
sais bien que le Président Gon-
douin me disait : • Tu vas trop
loin, tu exagères. En fait il y en n
eu, il n'y en a plus *. C'est tou-
jours facile, voyez-vous, de nier les
problèmes.
Il y a aussi des problèmes entre
Paris et la province et je vais vous
les expliquer ou tenter de le faire.
Lorsqu'on a créé ces organisa-
tions syndicales, les représentants
de la province — et ils étaient
nombreux — étaient plus encore
qu'aujourd'hui occupés dans leurs
usines et ils les quittaient moins
facilement. Il nous a paru normal,
à l'époque, de donner un grand
nombre de responsabilités à nos
Paris et la province et je vais vous
les expliquer ou tenter de le faire.
Lorsqu'on a créé ces organisa-
tions syndicales, les représentants
de la province — et ils étaient
nombreux — étaient plus encore
qu'aujourd'hui occupés dans leurs
usines et ils les quittaient moins
facilement. Il nous a paru normal,
à l'époque, de donner un grand
nombre de responsabilités à nos
collègues de Paris. Nous leur di-
sions : * Eh bien - puisque vous
avez la chance, vous, d'être à Paris,
c'est vous qui prendrez telle ou telle
place • et nous ajoutions : « ce
que nous vous demandons, c'est
d'exercer vos fonctions dans le sens
que nous souhaitons ».
sions : * Eh bien - puisque vous
avez la chance, vous, d'être à Paris,
c'est vous qui prendrez telle ou telle
place • et nous ajoutions : « ce
que nous vous demandons, c'est
d'exercer vos fonctions dans le sens
que nous souhaitons ».
Probablement qu'avec le temps
et peut-être aussi avec l'exercice
du pouvoir, on a perdu de vue cette
recommandation dans beaucoup de
postes et en dehors même de nos
représentations — nous avons des
représentations dans bien des orga-
nismes — et je connais bien des
gens qui sont des représentants de
la Confédération Générale des Ca-
dres dans ces organismes, mais qui
parlent froidement en leur nom
sans se soucier de savoir si réelle-
ment ils reflètent toujours l'opi-
nion de leurs collègues. Evidem-
ment, dans ces conditions il n'est
pas extraordinaire qu'il se soit po-
sé un certain nombre de problèmes.
et peut-être aussi avec l'exercice
du pouvoir, on a perdu de vue cette
recommandation dans beaucoup de
postes et en dehors même de nos
représentations — nous avons des
représentations dans bien des orga-
nismes — et je connais bien des
gens qui sont des représentants de
la Confédération Générale des Ca-
dres dans ces organismes, mais qui
parlent froidement en leur nom
sans se soucier de savoir si réelle-
ment ils reflètent toujours l'opi-
nion de leurs collègues. Evidem-
ment, dans ces conditions il n'est
pas extraordinaire qu'il se soit po-
sé un certain nombre de problèmes.
Et précisément aujourd'hui, mais
plus encore je crois dans des
travaux du Bureau qui vous seront
soumis par le Conseil Fédéral, je
pense que nous devons trouver un
certain nombre de solutions. •
plus encore je crois dans des
travaux du Bureau qui vous seront
soumis par le Conseil Fédéral, je
pense que nous devons trouver un
certain nombre de solutions. •
LES OBJECTIFS
« II nous faut, en matière admi-
nistrative :
nistrative :
— réunir régulièrement le Bu-
reau : je vous dis tout de suite que
notre idée est de profiter des
réunions du Comité Confédéral de
la C.G.C., de façon que nos
représentants des provinces fran-
çaises puissent ne pas multiplier
leurs déplacements, et également de
façon que ça ne coûte pas trop
cher à la Fédération.
reau : je vous dis tout de suite que
notre idée est de profiter des
réunions du Comité Confédéral de
la C.G.C., de façon que nos
représentants des provinces fran-
çaises puissent ne pas multiplier
leurs déplacements, et également de
façon que ça ne coûte pas trop
cher à la Fédération.
— rendre le bulletin plus vivant :
tout à l'heure nous parlerons de
la propagande et nous y revien-
drons.
tout à l'heure nous parlerons de
la propagande et nous y revien-
drons.
— spécialiser les commissions
ad hoc, non pas pour le plaisir d'en
avoir, mais pour qu'elles étudient
les problèmes qui se présentent et
surtout qu'elles ne s'en saisissent
pas pendant des années pour le
plaisir de faire des études, mais en
vue de présenter rapidement des
solutions.
ad hoc, non pas pour le plaisir d'en
avoir, mais pour qu'elles étudient
les problèmes qui se présentent et
surtout qu'elles ne s'en saisissent
pas pendant des années pour le
plaisir de faire des études, mais en
vue de présenter rapidement des
solutions.
— orienter la désignation des re-
présentants au Conseil Fédéral pour
arriver à une évolution sans heurt
dans un laps de temps qui, à mon
sens, ne doit pas excéder deux à
trois années.
présentants au Conseil Fédéral pour
arriver à une évolution sans heurt
dans un laps de temps qui, à mon
sens, ne doit pas excéder deux à
trois années.
Sur le plan syndical, je vous pro-
pose les quatre points suivants :
pose les quatre points suivants :
— les syndicats doivent envo/er
à la Fédération leurs comptes ren-
dus d'activités ;
à la Fédération leurs comptes ren-
dus d'activités ;
— effort de propagande accru et
c'est vous qui le ferez avec les
moyens que l'on mettra à votre
disposition ;
c'est vous qui le ferez avec les
moyens que l'on mettra à votre
disposition ;
— fournir à la Fédération les lis-
tes des futurs militants que vous
désignez aux sessions de formation
syndicale de Poigny-la-Forêt ;
tes des futurs militants que vous
désignez aux sessions de formation
syndicale de Poigny-la-Forêt ;
— enfin, en rentrant chez vous,
réunissez vos sections syndicales et
dites à vos adhérents que votre pré-
sident vous a demandé l'engagement
que chacun d'entre vous fasse un
adhérent dans le délai d'un an pt
convainquez-les de le faire.
réunissez vos sections syndicales et
dites à vos adhérents que votre pré-
sident vous a demandé l'engagement
que chacun d'entre vous fasse un
adhérent dans le délai d'un an pt
convainquez-les de le faire.
J'en viens aux derniers objectifs :
— relations avec les autres Fédé-
rations de la Confédération et avec
la C.G.C. Je serai bref. J'ai eu
quelques contacts avec les repré-
sentants de certaines d'entre elles.
rations de la Confédération et avec
la C.G.C. Je serai bref. J'ai eu
quelques contacts avec les repré-
sentants de certaines d'entre elles.
En gros, notre position sera la
suivante vis-à-vis des autres Fé-
dérations : nous pratiquerons com-
me toujours la politique de la main
tendue, ce qui ne veut pas dire
que nous inféoderons la Fédération
de la Métallurgie à d'autres, mais
nous estimons qu'à l'intérieur de
la Confédération, il y aurait un tra-
vail à faire. Ainsi que vous le
rappelait Gondouin, nous sommes
la Fédération la plus importante
et donc un peu, en dehors des
V.R.P., le fils aîné de la Confédé-
ration Générale des Cadres ; in-
combe à l'aîné certains devoirs sup-
plémentaires et ces devoirs, c'est
d'essayer de guider les plus jeu-
nes, c'est-à-dire les Fédérations les
moins importantes, et de faire en
sorte qu'à l'intérieur de la Confédé-
ration un travail plus efficace
puisse être fait.
suivante vis-à-vis des autres Fé-
dérations : nous pratiquerons com-
me toujours la politique de la main
tendue, ce qui ne veut pas dire
que nous inféoderons la Fédération
de la Métallurgie à d'autres, mais
nous estimons qu'à l'intérieur de
la Confédération, il y aurait un tra-
vail à faire. Ainsi que vous le
rappelait Gondouin, nous sommes
la Fédération la plus importante
et donc un peu, en dehors des
V.R.P., le fils aîné de la Confédé-
ration Générale des Cadres ; in-
combe à l'aîné certains devoirs sup-
plémentaires et ces devoirs, c'est
d'essayer de guider les plus jeu-
nes, c'est-à-dire les Fédérations les
moins importantes, et de faire en
sorte qu'à l'intérieur de la Confédé-
ration un travail plus efficace
puisse être fait.
— relations avec le patronat ; au
Conseil Fédéral j'ai dit textuelle-
ment ceci : « Les relations de la
Fédération de la Métallurgie avec le
patronat sont bonnes. Malheureuse-
ment ce sont les relations de cer-
tain monde patronal avec nous qui
ne sont pas toujours excellentes. ».
Je veux dire par là que nous pen-
sons qu'en ce qui concerne la Fé-
dération, et bien sûr aussi en ce
qui concerne la Confédération nous
pourions bénéficier d'un traitement
plus favorable du monde patronal.
Conseil Fédéral j'ai dit textuelle-
ment ceci : « Les relations de la
Fédération de la Métallurgie avec le
patronat sont bonnes. Malheureuse-
ment ce sont les relations de cer-
tain monde patronal avec nous qui
ne sont pas toujours excellentes. ».
Je veux dire par là que nous pen-
sons qu'en ce qui concerne la Fé-
dération, et bien sûr aussi en ce
qui concerne la Confédération nous
pourions bénéficier d'un traitement
plus favorable du monde patronal.
— relations avec les organisa-
tions internationales : nous avons
des contacts avec la I.C.I.M. Une
réunion se tiendra à Bruxelles avec
la Fédération Internationale des
Cadres des Mines.
tions internationales : nous avons
des contacts avec la I.C.I.M. Une
réunion se tiendra à Bruxelles avec
la Fédération Internationale des
Cadres des Mines.
Je termine en vous disant qu'en
ce qui concerne le congrès, c'est
peut-être sur ce point, l'an dernier
que Gondouin nous a laissé son tes-
tament le plus dlair. Je rappelle
qu'il disait : « A mon sens, nos
congrès doivent continuer à être
annuels ».
ce qui concerne le congrès, c'est
peut-être sur ce point, l'an dernier
que Gondouin nous a laissé son tes-
tament le plus dlair. Je rappelle
qu'il disait : « A mon sens, nos
congrès doivent continuer à être
annuels ».
Bien sûr, nous pensons qu'il faut
qu'ils soient annuels. Bien sûr, nous
voudrions aussi, puisque vous avez
droit à davantage de mandats, que
vous soyez plus nombreux. Bien sûr,
vous aurez droit à la parole, mais
si vous êtes plus nombreux vous
devez comprendre que les autres
ont aussi le droit de s'exprimer.
Vous vous arrangerez dès lors pour
présenter une intervention en trois
ou quatre minutes en y disant l'es-
sentiel afin que les autres congres-
sistes puissent prendre la parole.
Voilà dans quel sens je souhaite
que nous travaillions désormais. »
qu'ils soient annuels. Bien sûr, nous
voudrions aussi, puisque vous avez
droit à davantage de mandats, que
vous soyez plus nombreux. Bien sûr,
vous aurez droit à la parole, mais
si vous êtes plus nombreux vous
devez comprendre que les autres
ont aussi le droit de s'exprimer.
Vous vous arrangerez dès lors pour
présenter une intervention en trois
ou quatre minutes en y disant l'es-
sentiel afin que les autres congres-
sistes puissent prendre la parole.
Voilà dans quel sens je souhaite
que nous travaillions désormais. »
Les propositions de M. Robert ont
été approuvées unanimement par le
congrès.
été approuvées unanimement par le
congrès.
LE RAPPORT MORAL,
APRES la disparition du
venons d'honorer la
congrès national, il m'a
en exercice du bureau sortant de vo
le rapport moral concernant l'activij
congrès du Havre.
venons d'honorer la
congrès national, il m'a
en exercice du bureau sortant de vo
le rapport moral concernant l'activij
congrès du Havre.
» Avant d'aborder les différents
aspects de ce que fut notre action,
je crois utile de vous rappeler que
l'année 1967, fertile en événements
économiques et sociaux nous a
valu bien des débats et nous a
conduit à entreprendre un certain
nombre de démarches ; mais, s il
nous a fallu, sur certains points,
nous défendre — ordonnances por-
tant soi-disant réforme de la Sé-
curité Sociale — notre action ne
n'en est pas moins poursuivie dans
les divers domaines où nos inter-
ventions devaient se manifester.
aspects de ce que fut notre action,
je crois utile de vous rappeler que
l'année 1967, fertile en événements
économiques et sociaux nous a
valu bien des débats et nous a
conduit à entreprendre un certain
nombre de démarches ; mais, s il
nous a fallu, sur certains points,
nous défendre — ordonnances por-
tant soi-disant réforme de la Sé-
curité Sociale — notre action ne
n'en est pas moins poursuivie dans
les divers domaines où nos inter-
ventions devaient se manifester.
» Le fait que cette année 1967
soit apparue pour beaucoup com-
me une année de défense des
« droits acquis >, doit nous inci-
ter plus encore à renforcer les
moyens d'action de noire Fédéra-
tion. »
soit apparue pour beaucoup com-
me une année de défense des
« droits acquis >, doit nous inci-
ter plus encore à renforcer les
moyens d'action de noire Fédéra-
tion. »
SALAIRES
ET CONVENTIONS
COLLECTIVES
• A la suite des engagements
pris fin 1966, nous avons rencon-
tré les responsables de l'U.I.M.M.
le 22 décembre 1967 afin d'exa-
miner les conditions à retenir pour
l'actualisation des salaires minima
des ingénieurs et cadres.
pris fin 1966, nous avons rencon-
tré les responsables de l'U.I.M.M.
le 22 décembre 1967 afin d'exa-
miner les conditions à retenir pour
l'actualisation des salaires minima
des ingénieurs et cadres.
Après un très large échange ut-
vues, les parties se mirent d'accoH
pour revaloriser de près de 7 '",
les salaires minima, objet de la
recommandation commune du 20
décembre 19S8 ; nous obtenions
aussi l'incorporation du « point
de rattrapage resté en litige i an
passé. De plus, il fut convenu de
ramener de 5 à 1 le pourcentage
maximum de l'abattement pouvant
encore être pratiqué dans certaines
régions.
vues, les parties se mirent d'accoH
pour revaloriser de près de 7 '",
les salaires minima, objet de la
recommandation commune du 20
décembre 19S8 ; nous obtenions
aussi l'incorporation du « point
de rattrapage resté en litige i an
passé. De plus, il fut convenu de
ramener de 5 à 1 le pourcentage
maximum de l'abattement pouvant
encore être pratiqué dans certaines
régions.
» Bien qu'il n'existe pas encore
de convention collective propre
aux agents de maîtrise, techniciens
et assimilés, ni encore moins de
recommandation commune concer-
nant leurs appointements minima
garantis, nous n'en avons pas moins
poursuivi nos efforts en vue d'obte-
nir une revalorisation normale c!e
la valeur du point mensuel.
de convention collective propre
aux agents de maîtrise, techniciens
et assimilés, ni encore moins de
recommandation commune concer-
nant leurs appointements minima
garantis, nous n'en avons pas moins
poursuivi nos efforts en vue d'obte-
nir une revalorisation normale c!e
la valeur du point mensuel.
» Pour la région parisienne, les
négociations menées par notre syn-
dicat parisien, au nom de l'ensem-
ble des organisations syndicales
présentes, permettraient d'aboutir le
18 décembre 1967 à un accord por-
tant de 3,70 à 3,93 F la valeur du
point mensuel (+ 6,21 %), avec
application du 1" janvier 1968.
négociations menées par notre syn-
dicat parisien, au nom de l'ensem-
ble des organisations syndicales
présentes, permettraient d'aboutir le
18 décembre 1967 à un accord por-
tant de 3,70 à 3,93 F la valeur du
point mensuel (+ 6,21 %), avec
application du 1" janvier 1968.
» En province, les discussions me-
nées par nos syndicats ont permis
de poursuivre, parfois avec un cer-
tain décalage dans le temps,
l'actualisation des salaires minima
des A.M.T.A.
nées par nos syndicats ont permis
de poursuivre, parfois avec un cer-
tain décalage dans le temps,
l'actualisation des salaires minima
des A.M.T.A.
» Pour quelques régions, l'inter-
vention de notre Fédération a très
certainement contribué à l'amélio-
ration des rapports existant entre
les syndicats et certaines chambra
syndicales patronales.
vention de notre Fédération a très
certainement contribué à l'amélio-
ration des rapports existant entre
les syndicats et certaines chambra
syndicales patronales.
» Nous restons attachés au prin-
cipe d'une saine hiérarchie, laquelle
à chaque échelon doit permettre
d'apporter une juste rémunération
cipe d'une saine hiérarchie, laquelle
à chaque échelon doit permettre
d'apporter une juste rémunération
première
guerre
guerre
mondiale
la
première
guerre
mondiale
guerre
mondiale
Larousse
cinquante ans après...
la vérité
la vérité
2 volumes, sous la direction
du Général J.-E. VALLUY,
avec la collaboration de P. DUFOURCQ
1563 jours de souffrances et d'héroïsme,
neuf millions de morts...
Pourquoi ? Comment ?
un livre-clé pour comprendre
la naissance dramatique
du monde où nous vivons.
Le plus émouvant pèlerinage
pour les Anciens Combattants.
pour les Anciens Combattants.
Une révélation
pour les jeunes générations.
pour les jeunes générations.
le premier volume
'de Sarajevo à Verdun" vient de paraître
(le second volume, en novembre)
(le second volume, en novembre)
reliés (23 x 30 cm), sous jaquette, 656 pages
50% d'illustrations en noir ou en couleurs
une cartographie entièrement nouvelle
nombreux tableaux statistiques
bibliographie, index.
PROFITEZ DU PRIX DE FAVEUR
DE SOUSCRIPTION : 172 F
ET DES TRES LARGES FACILITÉS DE PAIEMENT
JE M. EMILE LEMOINE
sident Robert Gondouin dont nous
noire à l'ouverture de ce XXIII"
tient, en tant que vice-président
Conseil fédéral, de vous présenter
de notre Fédération depuis notre
fonction des services rendus; cette
position ne nous fait pas oublier
pour autant que nos collègues se
doivent, en tant que citoyens, de
contribuer à l'amélioration des con-
ditions de vie des salariés les moins
« favorisés •.
position ne nous fait pas oublier
pour autant que nos collègues se
doivent, en tant que citoyens, de
contribuer à l'amélioration des con-
ditions de vie des salariés les moins
« favorisés •.
» Nous avons présenté à 1'U.L
MM. les rectifications, les amélio-
rations et les adjonctions que nous
souhaitons voir apportées au texte
de la recommandation commune
des ingénieurs et cadres (rupture
contrat en cas de maladie, préa-
vis en cas de licenciement, congés
payés, majoration du montant des
indemnités de licenciement après
45 ans, etc.).
MM. les rectifications, les amélio-
rations et les adjonctions que nous
souhaitons voir apportées au texte
de la recommandation commune
des ingénieurs et cadres (rupture
contrat en cas de maladie, préa-
vis en cas de licenciement, congés
payés, majoration du montant des
indemnités de licenciement après
45 ans, etc.).
» Nous avons également abordé
les questions soulevées par la lettre
du Premier Ministre, adressée au
C.N.P.F. en août dernier : délai
de préavis en cas de licencie-
ment collectif, mesures particuliè-
res à adopter dans les cas de fu-
sion et de concentration.
les questions soulevées par la lettre
du Premier Ministre, adressée au
C.N.P.F. en août dernier : délai
de préavis en cas de licencie-
ment collectif, mesures particuliè-
res à adopter dans les cas de fu-
sion et de concentration.
• Sur le plan parisien, les négo-
ciations, bien que difficilement en-
gagées, devraient néanmoins abou-
tii à un accord prochain ; à
Lyon, des contacts ont déjà été
pris pour discuter de ces points très
particuliers.
ciations, bien que difficilement en-
gagées, devraient néanmoins abou-
tii à un accord prochain ; à
Lyon, des contacts ont déjà été
pris pour discuter de ces points très
particuliers.
. En ce qui concerne les agents
de maîtrise et techniciens, et con-
[ fermement aux engagements pris
lors du congrès du Havre, notre
Fédération a pris contact avec
11.M.M.
de maîtrise et techniciens, et con-
[ fermement aux engagements pris
lors du congrès du Havre, notre
Fédération a pris contact avec
11.M.M.
» Nous avons pu constater qu'une
évolution s'était manifestée et que
les dirigeants de la fédération pa-
tronale n'étaient plus opposés à en-
visager l'étude de ce problème, qui
| reste très important.
évolution s'était manifestée et que
les dirigeants de la fédération pa-
tronale n'étaient plus opposés à en-
visager l'étude de ce problème, qui
| reste très important.
» Pour ma part, je considère ce
problème comme fondamental et je
[ souhaite que le nouveau bureau
puisse constituer une commission
spéciale chargée, avec le concours
de notre secrétaire fédéral, de pré-
parer un avant-projet de recom-
mandation commune. »
problème comme fondamental et je
[ souhaite que le nouveau bureau
puisse constituer une commission
spéciale chargée, avec le concours
de notre secrétaire fédéral, de pré-
parer un avant-projet de recom-
mandation commune. »
SITUATION
DE NOS INDUSTRIES
DE NOS INDUSTRIES
-a) SIDERURGIE. — La mise en
application des dispositions prévues
par le plan professionnel, arrêté
entre le gouvernement et "la sidé-
rurgie française, s'est poursuivie
! tout au long de l'année 19i7.
application des dispositions prévues
par le plan professionnel, arrêté
entre le gouvernement et "la sidé-
rurgie française, s'est poursuivie
! tout au long de l'année 19i7.
» Cette • restructuration », sou-
| haitable sur le plan économique fa-
ce à la concurrence étrangère, con-
[ duit à des concentrations, lesquelles
entraînent des licenciements créant
I ainsi dans certains secteurs des si-
tuations difficiles voire explosives.
C'est pourquoi nous attachons le
I plus grand prix à la conclusion des
conventions sociales prévues par le
| plan professionnel. *
| haitable sur le plan économique fa-
ce à la concurrence étrangère, con-
[ duit à des concentrations, lesquelles
entraînent des licenciements créant
I ainsi dans certains secteurs des si-
tuations difficiles voire explosives.
C'est pourquoi nous attachons le
I plus grand prix à la conclusion des
conventions sociales prévues par le
| plan professionnel. *
M. Lemoine présente alors, ré-
gion par région, le résultat des né-
gociations qui ont abouti dans cer-
taines régions à la signature de ces
conventions, les pourparlers se
poursuivant dans d'autres centres.
. AERONAUTIQUE. — Les pro-
I blêmes de la restructuration des in-
jdustries aéronautiques et spatiales
(restent posés, mais il semble que
Iles pouvoirs publics n'aient pu en-
jcore arrêter définitivement les me-
I sures à prendre.
gion par région, le résultat des né-
gociations qui ont abouti dans cer-
taines régions à la signature de ces
conventions, les pourparlers se
poursuivant dans d'autres centres.
. AERONAUTIQUE. — Les pro-
I blêmes de la restructuration des in-
jdustries aéronautiques et spatiales
(restent posés, mais il semble que
Iles pouvoirs publics n'aient pu en-
jcore arrêter définitivement les me-
I sures à prendre.
Les changements de présidence
I intervenus au début 1967 ont contri-
I bue à développer un climat de mé-
I fiance et de trouble, d'autant que
Iles plans de charges présentaient
(quelques creux assez inquiétants.
» Néanmoins et malgré un retard
Isur la date de ses essais, annoncée
(hâtivement, à grand renfort de pu-
Iblicité, la mise au point du pro-
Itotype « Concorde • se poursuit
Inormalement.
I intervenus au début 1967 ont contri-
I bue à développer un climat de mé-
I fiance et de trouble, d'autant que
Iles plans de charges présentaient
(quelques creux assez inquiétants.
» Néanmoins et malgré un retard
Isur la date de ses essais, annoncée
(hâtivement, à grand renfort de pu-
Iblicité, la mise au point du pro-
Itotype « Concorde • se poursuit
Inormalement.
» La construction du . Jaguar .
let de 1' ' Airbus » devrait perr-r'
Itre une normalisation du pla:i de
[charge au sein des diverses socié-
[tés françaises.
let de 1' ' Airbus » devrait perr-r'
Itre une normalisation du pla:i de
[charge au sein des diverses socié-
[tés françaises.
» ELECTRONIQUE. — Le retard
Ipris par cette industrie en ce qui
Iconcerne la taille et la compétiti-
Ivité de nos entreprises face à cel-
|les des -autres pays du Marché
ommun d'un part, et des pays
[tiers d'autre part, conduit actuel-
Ipris par cette industrie en ce qui
Iconcerne la taille et la compétiti-
Ivité de nos entreprises face à cel-
|les des -autres pays du Marché
ommun d'un part, et des pays
[tiers d'autre part, conduit actuel-
lement à des regroupements qui,
pour être nécessaires, n'en sont pas
moins inquiétants en raison des
ma 'ifications d'effectifs qu'ils en-
traînent.
pour être nécessaires, n'en sont pas
moins inquiétants en raison des
ma 'ifications d'effectifs qu'ils en-
traînent.
» C'est ainsi que nous avons
assisté à la fusion C.S.F.-Thomson,
presque aussitôt suivie d'un • rap-
prochement » Thomson-Claret.
assisté à la fusion C.S.F.-Thomson,
presque aussitôt suivie d'un • rap-
prochement » Thomson-Claret.
» Notre Fédération, la première,
est intervenue auprès du secréta-
riat d'Eta!t à l'emploi et nous restons
en contact avec les pouvoirs pu-
blics afin d'obtenir une meilleure
information et une meilleure pré-
paration de ces « restructura-
tions ».
est intervenue auprès du secréta-
riat d'Eta!t à l'emploi et nous restons
en contact avec les pouvoirs pu-
blics afin d'obtenir une meilleure
information et une meilleure pré-
paration de ces « restructura-
tions ».
» d) CONSTRUCTION NAVA-
LE. — Si le carnet de commandes
de nos grands chantiers reste, de-
puis quelques mois particulière-
ment bien garni, il ne faut pas
oublier que cette « euphorie
d'origine conjonctuelle, résulte en
fait de la • neutralisation » du
canal de Suez.
LE. — Si le carnet de commandes
de nos grands chantiers reste, de-
puis quelques mois particulière-
ment bien garni, il ne faut pas
oublier que cette « euphorie
d'origine conjonctuelle, résulte en
fait de la • neutralisation » du
canal de Suez.
• Mais cette situation, pour fa-
vorable qu'elle soit actuellement, ne
doit pas nous faire oublier que nos
chantiers, sur le plan strictement
concurrentiel, restent encore très
vulnérables.
vorable qu'elle soit actuellement, ne
doit pas nous faire oublier que nos
chantiers, sur le plan strictement
concurrentiel, restent encore très
vulnérables.
» Nous ne pouvons donc que nous
féliciter 'de la mise en place d'un
i mini-plan » professionnel qui vise
à concentrer la construction des
grands navires ; nous regrettons
toutefois, que cette opération, ex-
posée par M. J. Morin avant son
départ du secrétariat à la Marine
marchande, ne soit pas assortie
d'une négociation entre la Cham-
bre syndicale des constructeurs de
navires et les organisations syndi-
cales. »
féliciter 'de la mise en place d'un
i mini-plan » professionnel qui vise
à concentrer la construction des
grands navires ; nous regrettons
toutefois, que cette opération, ex-
posée par M. J. Morin avant son
départ du secrétariat à la Marine
marchande, ne soit pas assortie
d'une négociation entre la Cham-
bre syndicale des constructeurs de
navires et les organisations syndi-
cales. »
SITUATION SOCIALE
M. Lemoine, ouvrant le dossier
de l'emploi, déclare d'abord :
de l'emploi, déclare d'abord :
• Les accords de coopération, les
fusions et les concentrations de so-
ciétés se sont poursuivis et, nous
avons eu à déplorer un certain
nombre de licenciements consécu-
tifs aux • compressions » d'effectifs
qui en résultaient.
fusions et les concentrations de so-
ciétés se sont poursuivis et, nous
avons eu à déplorer un certain
nombre de licenciements consécu-
tifs aux • compressions » d'effectifs
qui en résultaient.
• Malgré quelques mesures, encore
insuffisantes prises par les pou-
voirs publics, la perspective du \"
juillet 1968 — suppression des
frontières douanières au sein des
six pays de la C.E.E. — a large-
ment contribué à l'accélération de
ce processus irréversible qui tend
à modifier les structures de nos
entreprises afin d'en accroître les
moyens de production et d'amélio-
rer leur compétitivité. »
insuffisantes prises par les pou-
voirs publics, la perspective du \"
juillet 1968 — suppression des
frontières douanières au sein des
six pays de la C.E.E. — a large-
ment contribué à l'accélération de
ce processus irréversible qui tend
à modifier les structures de nos
entreprises afin d'en accroître les
moyens de production et d'amélio-
rer leur compétitivité. »
Puis l'orateur énuméra, entrepri-
se par entreprise, les interventions
des syndicats et de la Fédération
dans les différentes branches pro-
fessionnelles touchées par ces fu-
sions et ces concentrations, avant
de poursuivre :
se par entreprise, les interventions
des syndicats et de la Fédération
dans les différentes branches pro-
fessionnelles touchées par ces fu-
sions et ces concentrations, avant
de poursuivre :
• Devant ces difficultés, nous
avons avec le concours de la C.G.C.
poursuivi nos démarches et notre
action afin d'obtenir une meilleure
protection.
avons avec le concours de la C.G.C.
poursuivi nos démarches et notre
action afin d'obtenir une meilleure
protection.
C'est ainsi que l'A.P.E.C, actuel-
lement présidée par notre collègue
M. Albert Lecompte, a procédé à
l'implantation de ses < antennes ..
en province. Je tiens à profiter de
l'occasion pour renouveler mes très
vives félicitations à notre collègue
M. Lefèvre qui a été porté à la pré-
sidence du Comité directeur de la
délégation régionale de Ù'A.P.E.C.
pour l'ensemble des départements
de la Meurthe-et-Moselle, de la
Meuse, de la Moselle, des Vosges,
du Haut-Rhin, et du Bas-Rhin.
lement présidée par notre collègue
M. Albert Lecompte, a procédé à
l'implantation de ses < antennes ..
en province. Je tiens à profiter de
l'occasion pour renouveler mes très
vives félicitations à notre collègue
M. Lefèvre qui a été porté à la pré-
sidence du Comité directeur de la
délégation régionale de Ù'A.P.E.C.
pour l'ensemble des départements
de la Meurthe-et-Moselle, de la
Meuse, de la Moselle, des Vosges,
du Haut-Rhin, et du Bas-Rhin.
« Les ordonnances de septembre
dernier permettent à présent, à tous
les salariés privés d'emploi — sous
réserve d'un plafond de ressources
— de bénéficier de l'aide publique,
quel que soit leur 'lieu de rési-
dence ; de plus, pendant les trois
premiers mois de chômage, il n'y a
pas de plafond d'indemnisation et
la participation ->.es A.S.S.E.D.I.C.
se trouve portée de 35 à 40 %.
dernier permettent à présent, à tous
les salariés privés d'emploi — sous
réserve d'un plafond de ressources
— de bénéficier de l'aide publique,
quel que soit leur 'lieu de rési-
dence ; de plus, pendant les trois
premiers mois de chômage, il n'y a
pas de plafond d'indemnisation et
la participation ->.es A.S.S.E.D.I.C.
se trouve portée de 35 à 40 %.
» Par ailleurs, après une période
probatoire, les A.S.S.E.D.I.C. ont
généralisé l'application de nouvel-
les dispositions permettant aux sa-
lariés privés d'emploi, et qui n'ont
pu retrouver de situation, de bé-
néficier d'une prolongation de la
durée d'indemnisation après exa-
men de leur dossier par une com-
mission ad hoc (cette prolongation
de trois mois peut être éventuelle-
ment renouvelée sans pouvoir
probatoire, les A.S.S.E.D.I.C. ont
généralisé l'application de nouvel-
les dispositions permettant aux sa-
lariés privés d'emploi, et qui n'ont
pu retrouver de situation, de bé-
néficier d'une prolongation de la
durée d'indemnisation après exa-
men de leur dossier par une com-
mission ad hoc (cette prolongation
de trois mois peut être éventuelle-
ment renouvelée sans pouvoir
néanmoins dépasser douze mois).
» Enfin, après les péripéties dont
nous vous avions entretenu l'an
passé, un accord a été enfin réa-
lisé en mai 1967 avec le C.N.P.F.
pour l'attribution de points gra-
tuits de retraite aux salariés privés
d'emploi. Cet accord conclu au
niveau des Confédérations C.G.C.,
C.G.T., F.O., C.F.D.T. et C.F.T.D.,
prenj effet du 1" octobre 1967 sui-
vant les modalités ci-après :
nous vous avions entretenu l'an
passé, un accord a été enfin réa-
lisé en mai 1967 avec le C.N.P.F.
pour l'attribution de points gra-
tuits de retraite aux salariés privés
d'emploi. Cet accord conclu au
niveau des Confédérations C.G.C.,
C.G.T., F.O., C.F.D.T. et C.F.T.D.,
prenj effet du 1" octobre 1967 sui-
vant les modalités ci-après :
» Pour le régime des Cadres (art.
4, 4 bis et 36) les conditions sont
celles applicables en cas de maladie
ou d'invalidité ; toutefois, le nom-
bre des points attribués est affecté
du coefficient 0,80.
4, 4 bis et 36) les conditions sont
celles applicables en cas de maladie
ou d'invalidité ; toutefois, le nom-
bre des points attribués est affecté
du coefficient 0,80.
» Pour le régime A.R.R.C.O., bien
que non encore officialisé, l'attribu-
tion de point serait fixée à 100 %. •
que non encore officialisé, l'attribu-
tion de point serait fixée à 100 %. •
L'ACTIVITE DE LA F.C.M.
Dans la dernière partie de son
intervention, M. Lemoine va passer
en revue l'activité de' la Fédéra-
tion : relations avec les autres fé-
dérations de la C.G.C. et les autres
organisations syndicales, énuméra-
tion des fort nombreuses réunions
d'information organisées par la
commission fédérale de propagande,
d'un bout à l'autre de la France,
représentation dans les organismes
officiels, résultats réconfortants ob-
tenus lors des élections profession-
nelles, car lorsqu'il existe un
troisième collège, et que la compo-
sition du deuxième ne descend pas
jusqu'aux employés, nos candidats
arrivent largement en tête et ce nt
sont pas les soi-disantes statistiques
constituées à l'usage de la C.F.D.T.
stages de formation syndicale, etc.
qui changeront cette réalité • .
intervention, M. Lemoine va passer
en revue l'activité de' la Fédéra-
tion : relations avec les autres fé-
dérations de la C.G.C. et les autres
organisations syndicales, énuméra-
tion des fort nombreuses réunions
d'information organisées par la
commission fédérale de propagande,
d'un bout à l'autre de la France,
représentation dans les organismes
officiels, résultats réconfortants ob-
tenus lors des élections profession-
nelles, car lorsqu'il existe un
troisième collège, et que la compo-
sition du deuxième ne descend pas
jusqu'aux employés, nos candidats
arrivent largement en tête et ce nt
sont pas les soi-disantes statistiques
constituées à l'usage de la C.F.D.T.
stages de formation syndicale, etc.
qui changeront cette réalité • .
Citons cette information en ma-
tière d'effectifs :
tière d'effectifs :
« Depuis 1957, nos effectifs ont
progressé de près de 80 % (sans te-
nir compte des retraités, + 468 %)
et de 1966 à 1967, la progression
a été de 2,4 % (sans tenir compte
des retraités, + 15 %). •
progressé de près de 80 % (sans te-
nir compte des retraités, + 468 %)
et de 1966 à 1967, la progression
a été de 2,4 % (sans tenir compte
des retraités, + 15 %). •
Après un rappel de la présence
de notre président, M. Léon Robert
au Bureau élargi du Comité Con-
sultatif de la C.E.C.A. à Luxem-
bourg, qui a largement contribué
à l'instauration de contacts perma-
nents dont l'utilité est incontesta-
ble », M. Lemoine conclut : * Les
résultats obtenus confirment notre
vitalité et le dynamisme de nos di-
verses instances fédérales (Bureau
et Conseil) et syndicales. Bien que
menée discrètement, notre action
n'a pas été pour autant moins effi-
cace que celle menée par les autres
Centrales dont les « éclats • ont
fini par lasser leurs propres grou-
pes. •
de notre président, M. Léon Robert
au Bureau élargi du Comité Con-
sultatif de la C.E.C.A. à Luxem-
bourg, qui a largement contribué
à l'instauration de contacts perma-
nents dont l'utilité est incontesta-
ble », M. Lemoine conclut : * Les
résultats obtenus confirment notre
vitalité et le dynamisme de nos di-
verses instances fédérales (Bureau
et Conseil) et syndicales. Bien que
menée discrètement, notre action
n'a pas été pour autant moins effi-
cace que celle menée par les autres
Centrales dont les « éclats • ont
fini par lasser leurs propres grou-
pes. •
LA MOTION DE CLOTURE
LES délégués de la Fédération des Syndicats de Cadres de la Métallurgie,
affiliée à la Confédération Générale des Cadres, réunis en congrès natio-
nal à Marseille les 27 et 28 avril 1968, sous la présidence de M. Léon
Robert, et en présence de M. André Malierre, Président de la CG.C. et Ques-
teur au Conseil Economique et Social,
affiliée à la Confédération Générale des Cadres, réunis en congrès natio-
nal à Marseille les 27 et 28 avril 1968, sous la présidence de M. Léon
Robert, et en présence de M. André Malierre, Président de la CG.C. et Ques-
teur au Conseil Economique et Social,
Sur le Plan Général
CONSTATENT, malgré les affirmations statistiques d'une très légère reprise de
l'économie ces derniers mois, une aggravation certaine de la situation de
l'emploi en France, amenant de nombreux sujets de mécontentement, source
de conflits dont l'ampleur pourrait compromettre l'avenir économique de notre
pays à quelques mois de l'ouverture totale de nos frontières au sein de la
O.E.E.
l'économie ces derniers mois, une aggravation certaine de la situation de
l'emploi en France, amenant de nombreux sujets de mécontentement, source
de conflits dont l'ampleur pourrait compromettre l'avenir économique de notre
pays à quelques mois de l'ouverture totale de nos frontières au sein de la
O.E.E.
ESTIMENT qu'il devient urgent de mettre enfin en pratique cette politique de
« concertation >• aux différents niveaux, laquelle pourrait seule permettre
d'apporter une solution cohérente et humaine aux problèmes que soulèvent
les fusions, les concentrations, voire les restructurations d'entreprises.
« concertation >• aux différents niveaux, laquelle pourrait seule permettre
d'apporter une solution cohérente et humaine aux problèmes que soulèvent
les fusions, les concentrations, voire les restructurations d'entreprises.
REAFFIRMENT leur volonté de faire aboutir dans ce pays une véritable politique
de plein emploi, assurant des débouchés aux jeunes cadres, la promotion
aux agents de maîtrise et aux techniciens et la sécurité aux cadres confirmés,
dont le principe devra être retenu pour préparation du VI* Plan.
de plein emploi, assurant des débouchés aux jeunes cadres, la promotion
aux agents de maîtrise et aux techniciens et la sécurité aux cadres confirmés,
dont le principe devra être retenu pour préparation du VI* Plan.
SE DECLARENT partisans d'une politique résolument européenne, en dépit des
difficultés rencontrées dans la création de la nouvelle Europe.
difficultés rencontrées dans la création de la nouvelle Europe.
ESTIMENT après discussion du rapport sur le Marché commun et ses consé-
quences économiques et sociales,
quences économiques et sociales,
En ce qui concerne les problèmes soulevés par la fusion des traités, qu:
doivent être débattus prochainement à Strasbourg et à Bruxelles,
nécessaire de préserver l'indépendance financière des secteurs relevant anté-
rieurement du traité de Paris, afin de garantir les intérêts des travailleurs
de ces industries menacées de reconversion.
doivent être débattus prochainement à Strasbourg et à Bruxelles,
nécessaire de préserver l'indépendance financière des secteurs relevant anté-
rieurement du traité de Paris, afin de garantir les intérêts des travailleurs
de ces industries menacées de reconversion.
SOUHAITENT, notamment en ce qui concerne l'organisation économique euro-
péenne future, la création d'un groupe constitué par les différentes sources
énergétiques, auquel devrait être rattachée l'industrie charbonnière, tandis
que la sidérurgie devrait être intégrée au groupe des transformateurs clients
de cette industrie, chacun des groupes étant doté d'un organisme consultât?!
au sein duquel se retrouveraient les représentants qualifiés des producteurs
des utilisateurs et des travailleurs
péenne future, la création d'un groupe constitué par les différentes sources
énergétiques, auquel devrait être rattachée l'industrie charbonnière, tandis
que la sidérurgie devrait être intégrée au groupe des transformateurs clients
de cette industrie, chacun des groupes étant doté d'un organisme consultât?!
au sein duquel se retrouveraient les représentants qualifiés des producteurs
des utilisateurs et des travailleurs
DENONCENT une fois de plus les interventions, en matière économique et
sociale, des technocrates qui exercent, dans notre pays, la réalité du pouvoir
sans en supporter les conséquences
sociale, des technocrates qui exercent, dans notre pays, la réalité du pouvoir
sans en supporter les conséquences
Sur le Plan Professionnel
ESTIMENT INDISPENSABLE que les discussions puissent enfin s'engager pour la
conclusion d'une « recommandation nationale » propre aux agents de maî-
trise, dessinateurs, techniciens et assimilés, permettant d'obtenir cette har
monisation effective des clauses conventionnelles et de? salaires minima gar?"-
tis, nécessaire, face aux décentralisations auxquelles, nous assistons.
conclusion d'une « recommandation nationale » propre aux agents de maî-
trise, dessinateurs, techniciens et assimilés, permettant d'obtenir cette har
monisation effective des clauses conventionnelles et de? salaires minima gar?"-
tis, nécessaire, face aux décentralisations auxquelles, nous assistons.
DEMANDENT que soit étudiée rapidement l'harmonisation des régimes de retrai-
tes complémentaires dont bénéficient les agents de maîtrise, techniciens et
assimilés, dans le cadre d'une convention collective nationale propre à cette
catégorie n> salariés
tes complémentaires dont bénéficient les agents de maîtrise, techniciens et
assimilés, dans le cadre d'une convention collective nationale propre à cette
catégorie n> salariés
S'ELEVENT contre la mise en place d'une politique dite « de revenus », laquelle
tend, en fait, à remettre en cause le principe même de la hiérarchie
tend, en fait, à remettre en cause le principe même de la hiérarchie
RENOUVELLENT leur totale et entière confiance à leur Bureau Fédéral, à la
Confédération Générale des Cadres et à son président M. André Malterre,
pour mener à bien leurs justes et légitimes revendications
Confédération Générale des Cadres et à son président M. André Malterre,
pour mener à bien leurs justes et légitimes revendications
CONFIRMENT leur entière adhésion aux positions prises par la C.G.C. et claire-
ment exprimées lors de la réunion de Pleyel, le 2 avril 1968.
ment exprimées lors de la réunion de Pleyel, le 2 avril 1968.
LE BUREAU FEDERAL DE LA METALLURGIE
AU soir du samedi 27 avril, le
banquet traditionnel a réuni dans
une ambiance particulièrement
chaleureuse non seulement de nombreux
dirigeants — nationaux et régionaux —
de la C.G.C. et bien sûr tous ceux de
la F.C.M., mais aussi plusieurs person-
nalités de la grande cité phocéenne, re-
présentants de la municipalité, de la
Chambre de Commerce, de l'Université, du
Comité régional de productivité, etc.
banquet traditionnel a réuni dans
une ambiance particulièrement
chaleureuse non seulement de nombreux
dirigeants — nationaux et régionaux —
de la C.G.C. et bien sûr tous ceux de
la F.C.M., mais aussi plusieurs person-
nalités de la grande cité phocéenne, re-
présentants de la municipalité, de la
Chambre de Commerce, de l'Université, du
Comité régional de productivité, etc.
A l'heure des allocutions M. Robert sut
allier à ses propos d'animateur d'union
régionale les préoccupations de prési-
dent national de la plus importante fédé-
ration de la C.G.C.
allier à ses propos d'animateur d'union
régionale les préoccupations de prési-
dent national de la plus importante fédé-
ration de la C.G.C.
Puis M. André Malterre, après avoir
souligné le rajeunissement constaté dans
souligné le rajeunissement constaté dans
Président : M. Léon Robert.
Vice-présidents : MM. Marcel Jal-
Vice-présidents : MM. Marcel Jal-
lais et Emile Lemoine
Secrétaire général : M. Guy Harnand
Secrétaire général adjoint :
Secrétaire général : M. Guy Harnand
Secrétaire général adjoint :
M. Pierre Gaudin
Trésorier : M. Piere Bach
Trésorier adjoint :
M. Henri Benoit-Guyod
Secrétaire chargé de la propagande :
M. Jean Luzuric
M. Jean Luzuric
Le banquet officiel
les effectifs de la Confédération, rap-
pela les grands sujets d'inquiétude res-
sentis actuellement par les cadres ; dé-
plafonnement de la Sécurité sociale —
. si notre place n'est plus dans ce ré-
gime, il nous faudra peut-être en créer
un qui nous soit propre • — ; réforme
de l'impôt sur le revenu — « la justice
sociale exige que l'on fasse une distinc-
tion entre les revenus provenant de la
fortune acquise et les revenus du tra-
vail - — ; sécurité de l'emploi — « de-,
puis 18 mois, malgré une certaine pro-
gression de la production, le chiffre des
chômeurs a augmenté... il faut donc im-
pérativement que croisse le taux d'ex-
pansion • — ; les conséquences des
fusions et concentrations d'entreprises
découlant pour partie de la réalisation
du Marché commun, pour partie du pro-
pela les grands sujets d'inquiétude res-
sentis actuellement par les cadres ; dé-
plafonnement de la Sécurité sociale —
. si notre place n'est plus dans ce ré-
gime, il nous faudra peut-être en créer
un qui nous soit propre • — ; réforme
de l'impôt sur le revenu — « la justice
sociale exige que l'on fasse une distinc-
tion entre les revenus provenant de la
fortune acquise et les revenus du tra-
vail - — ; sécurité de l'emploi — « de-,
puis 18 mois, malgré une certaine pro-
gression de la production, le chiffre des
chômeurs a augmenté... il faut donc im-
pérativement que croisse le taux d'ex-
pansion • — ; les conséquences des
fusions et concentrations d'entreprises
découlant pour partie de la réalisation
du Marché commun, pour partie du pro-
grès technique ; enfin les attaques sys-
tématiques contre les cadres — « il faut
que l'on admette que les cadres, groupe
social autonome, ont le droit de défendre
leurs intérêts et celui de le faire avec
une certaine fermeté. >
tématiques contre les cadres — « il faut
que l'on admette que les cadres, groupe
social autonome, ont le droit de défendre
leurs intérêts et celui de le faire avec
une certaine fermeté. >
Enfin M. Laporte, préfet de région,
après avoir rappelé la part prise par
M. Robert, l'an dernier, dans le règle-
ment des difficultés de la sidérurgie lor-
raine (M. Laporte étant alors préfet de
la région de Metz), puis après avoir sa-
lué en M. Malterre « la personnalité
éconor ue du monde syndicaliste dont
nous sommes fiers », fit l'éloge du dia-
logue entre toutes les forces vives du
pays, à l'heure de la mutation écono-
mique qui s'accélère et rend plus ur-
gente la solution des problèmes sociaux
qu'elle soulève.
après avoir rappelé la part prise par
M. Robert, l'an dernier, dans le règle-
ment des difficultés de la sidérurgie lor-
raine (M. Laporte étant alors préfet de
la région de Metz), puis après avoir sa-
lué en M. Malterre « la personnalité
éconor ue du monde syndicaliste dont
nous sommes fiers », fit l'éloge du dia-
logue entre toutes les forces vives du
pays, à l'heure de la mutation écono-
mique qui s'accélère et rend plus ur-
gente la solution des problèmes sociaux
qu'elle soulève.
310-312.ROUTE d'ORLÉANS (R N20) 91 MASSV - Tel : 920.24.09
Même M,,Son NATIONALE 13 (derrière la Mairie) PORT-MARI Y Tel: 969.38.34
Même M,,Son NATIONALE 13 (derrière la Mairie) PORT-MARI Y Tel: 969.38.34
M. GRUAU
-
CONCESSIONNAIRE OFFICIEL
CARAVELAIR WILLERBY
LE CHALEL
WILLERBY V
5 PIECES
36M
36M
OCEANE
I
INSTALLATION
COMPLETE
COMPLETE
RAPIDE
ENTIEREMENT MEUBLE
ENTIEREMENT MEUBLE
avec
SANITAIRE WC
REFRIGERATEUR
REFRIGERATEUR
condition spéciale sur
présentation de cette annonce
présentation de cette annonce
PETITES ANNONCES
DEMANDES D'EMPLOI
Cadre supérieur retraité re-
cherche emploi administratif
temps complet ou mi-temps.
Ecrire au journal.
cherche emploi administratif
temps complet ou mi-temps.
Ecrire au journal.
26 ans. Recherche Savoie ou
Haute-Savoie, poste adminis-
tratif commercial. Notions
comptabilité, dactylographie.
Anglais, espagnol. Ecrire au
j ournal
Haute-Savoie, poste adminis-
tratif commercial. Notions
comptabilité, dactylographie.
Anglais, espagnol. Ecrire au
j ournal
Etudiante. 17 ans, parfaites
connaissances anglais, espagnol.
Cherche emploi pour juillet.
Travaux de bureau préférence.
Ecrire au Creuset.
connaissances anglais, espagnol.
Cherche emploi pour juillet.
Travaux de bureau préférence.
Ecrire au Creuset.
Contremaître de fabrication,
base ajusteur-outilleur, 37 a.,
cherche place stable, habitant
Porte de Vincennes. Ecr. R.P.
n" 311, Le Creuset, 50, r. P.-
Charron, Paris, qui transmettra.
base ajusteur-outilleur, 37 a.,
cherche place stable, habitant
Porte de Vincennes. Ecr. R.P.
n" 311, Le Creuset, 50, r. P.-
Charron, Paris, qui transmettra.
Traductions techniques anglais,
allemand, américain exécutées
chez lui par cadre super, re-
traité (sidérurgie). Réf. de l"r
ordre. Ecr. Le Creuset, P.A.
N° 306, 50, rue P.-Charron,
PARIS (8').
allemand, américain exécutées
chez lui par cadre super, re-
traité (sidérurgie). Réf. de l"r
ordre. Ecr. Le Creuset, P.A.
N° 306, 50, rue P.-Charron,
PARIS (8').
Infirmière diplômée d'Etat gar-
derait malade à domicile, en
province ou à Paris, du 3 au
31 août. Ecrire au journal.
derait malade à domicile, en
province ou à Paris, du 3 au
31 août. Ecrire au journal.
J.F., 40 ans, opératrice « Oli-
vetti », expérimentée, sérieuse.
Cherche situation stable PA-
RIS. Ecrire au journal.
vetti », expérimentée, sérieuse.
Cherche situation stable PA-
RIS. Ecrire au journal.
Agent de maîtrise, coeff. 221,
spécialiste électro-statique et
traitement de surface, 8 années
d'expérience, habitude com-
mandement et contacts hu-
mains, cherche poste similaire.
S'adresser au journal.
spécialiste électro-statique et
traitement de surface, 8 années
d'expérience, habitude com-
mandement et contacts hu-
mains, cherche poste similaire.
S'adresser au journal.
Toutes les annonces de
recherche d'emploi portant
un numéro émanent du
Service de Placement de la
F.N.S.I.C., 30. rue de Gra-
mont, Paris-2*, où les répon-
ses doivent être adressées
directement.
recherche d'emploi portant
un numéro émanent du
Service de Placement de la
F.N.S.I.C., 30. rue de Gra-
mont, Paris-2*, où les répon-
ses doivent être adressées
directement.
7.278. Préparateur III - Métho-
des - pr.x de revient - tra-
vail à façon, mécanique géné-
rale et ouiillage, spécialiste
stratifiés ; lib. sous quinzaine,
recherche emploi similaire.
Paris ou banlieue Nord.
des - pr.x de revient - tra-
vail à façon, mécanique géné-
rale et ouiillage, spécialiste
stratifiés ; lib. sous quinzaine,
recherche emploi similaire.
Paris ou banlieue Nord.
7.279. Ingénieur électricien
confirmé. AI. 440 - I.P.F.,
I.C.F.. ex-maitre électricien
S.G. sous-marins, aéronavale
et Air France. Prof, expérien-
ce des matériels. Travaux
neufs et entretien HT, BT -
courant continu, alternatif -
mach. - tourn. équip. automat.
Télécommande régulation ME-
CI. 8 ans verreries. 8 ans
industrie chimique, recherche
emploi chef de service élec-
tricité, sécurité ds moyenne
entreprise ou poste de chef
d'agence matériel électrique
ou d'organisme de contrôle.
Morlaix - Brest de préférence.
confirmé. AI. 440 - I.P.F.,
I.C.F.. ex-maitre électricien
S.G. sous-marins, aéronavale
et Air France. Prof, expérien-
ce des matériels. Travaux
neufs et entretien HT, BT -
courant continu, alternatif -
mach. - tourn. équip. automat.
Télécommande régulation ME-
CI. 8 ans verreries. 8 ans
industrie chimique, recherche
emploi chef de service élec-
tricité, sécurité ds moyenne
entreprise ou poste de chef
d'agence matériel électrique
ou d'organisme de contrôle.
Morlaix - Brest de préférence.
7.281. Chef comptable (dame),
comptabilité décalque CSM.
plan 57. Comptes exploitation-
bilans - déclarations fiscales-
paies, charges sociales, prévi-
sions de trésorerie, sérieuses
références, recherche emploi
stable région parisienne et
Paris.
comptabilité décalque CSM.
plan 57. Comptes exploitation-
bilans - déclarations fiscales-
paies, charges sociales, prévi-
sions de trésorerie, sérieuses
références, recherche emploi
stable région parisienne et
Paris.
7.282. Cadre comptabilité com-
merciale, recherche situation
région Bayonne - adjoint di-
rection organisation, contact
clientèle - expérience gestion
représentants et personnel, exp.
gestion dépôts.
merciale, recherche situation
région Bayonne - adjoint di-
rection organisation, contact
clientèle - expérience gestion
représentants et personnel, exp.
gestion dépôts.
7.284. S/directeur magasin type
super-marché - alimentation
générale, expérience manuten-
lion et gestion générale, re-
cherche situation de même ni-
veau Paris - Province. Serait
intéressé par situation écono-
me ou gestionnaire ds collec-
tivité, type activité sociale ou
organisme vacances. Fr. ou
étranger. Parlant italien, lib.
rapidement.
super-marché - alimentation
générale, expérience manuten-
lion et gestion générale, re-
cherche situation de même ni-
veau Paris - Province. Serait
intéressé par situation écono-
me ou gestionnaire ds collec-
tivité, type activité sociale ou
organisme vacances. Fr. ou
étranger. Parlant italien, lib.
rapidement.
7.285. Ingénieur Institut poly-
technique de Grenoble. 43 ans,
espagnol, portugais, anglais
courant, lus, parlés, écrits (six
années d'activités en Améri-
que du Sud), 10 années d'ex-
périence en installation électro-
mécaniques et Centrales 4- 10
années d'expérience technique
et commerciale dans enginee-
ring chimique, dont 3 comme
ingénieur en chef (offre
contrats - montage - mise en
service - B.E. - relation clients
niveau direction) recherche
travail de synthèse - coordi-
nation - contacts humains et
voyages étranger.
technique de Grenoble. 43 ans,
espagnol, portugais, anglais
courant, lus, parlés, écrits (six
années d'activités en Améri-
que du Sud), 10 années d'ex-
périence en installation électro-
mécaniques et Centrales 4- 10
années d'expérience technique
et commerciale dans enginee-
ring chimique, dont 3 comme
ingénieur en chef (offre
contrats - montage - mise en
service - B.E. - relation clients
niveau direction) recherche
travail de synthèse - coordi-
nation - contacts humains et
voyages étranger.
7.-86. Chef comptable - comp-
tabilité générale et industrielle,
achats, personnel, cherche si-
tuation stable en province.
tabilité générale et industrielle,
achats, personnel, cherche si-
tuation stable en province.
Adjoiiv. au Chef de Service
Transports, importante Société
Industrielle. Chiffre d'affaires
transports traité annuellement
10 millions N.F Expérience
métier 5 à 6 ans exigée, spé-
cialement en transports flu-
viaux. Traitement envisagé
2 500 à 3 500 F/mois. Ecrire au
Creuset qui fera suivre. Il ne
sera répondu qu'aux dossiers
retenus pour examen.
Transports, importante Société
Industrielle. Chiffre d'affaires
transports traité annuellement
10 millions N.F Expérience
métier 5 à 6 ans exigée, spé-
cialement en transports flu-
viaux. Traitement envisagé
2 500 à 3 500 F/mois. Ecrire au
Creuset qui fera suivre. Il ne
sera répondu qu'aux dossiers
retenus pour examen.
Les adhérents répondant
aux offres d'emploi numé-
rotées ci-après doivent
s'adresser au Service de
Placement de la F.N.S.I.C.,
30, rue de Gramont. Pa-
ris-?.
aux offres d'emploi numé-
rotées ci-après doivent
s'adresser au Service de
Placement de la F.N.S.I.C.,
30, rue de Gramont. Pa-
ris-?.
(Jours de réceptions, les
mardis et vendredis, de
14 heures à 18 heures.)
mardis et vendredis, de
14 heures à 18 heures.)
Seules seront prises en
considération les lettres
précisant :
considération les lettres
précisant :
— la profession ;
- les lieu et date de
naissance ;
naissance ;
— l'affiliation à la Confé-
dération Générale des Ca-
dres de notre correspon-
dant.
dération Générale des Ca-
dres de notre correspon-
dant.
5.673. Dessinateur - projeteur,
spécialisé dans problèmes du
froid, climatisation, ventila-
tion, 25-45-50 ans, position as-
similé cadre, avantages soc-,
13" mois, 43 heures p. sem.
lundi-vendredi. Société com-
merciale, Paris.
spécialisé dans problèmes du
froid, climatisation, ventila-
tion, 25-45-50 ans, position as-
similé cadre, avantages soc-,
13" mois, 43 heures p. sem.
lundi-vendredi. Société com-
merciale, Paris.
5.674. Ingénieur mécanicien
nat. fr. pour essais de labo-
ratoire, applications à l'indus-
trie spatiale, firme française,
travail à l'étranger.
nat. fr. pour essais de labo-
ratoire, applications à l'indus-
trie spatiale, firme française,
travail à l'étranger.
5.675. Ingénieur mécanicien,
nat. fr. pour essais de labo-
ratoire, banlieue parisienne,
nombreux déplacements prov.
nat. fr. pour essais de labo-
ratoire, banlieue parisienne,
nombreux déplacements prov.
5.689. Ingénieur, attaché au
service publicité propagande,
pour société de fabrication el
vente de matériel d'éclairage
25-35 ans. Bonne formation
scientifique et T.B. culture gé-
nérale, aptitude à la parole et
à la réduction. Conférences sur
tous sujets d'éclairage aux
centres à Paris et en provin-
ce - rédaction d articles et d<
texîes des'.iné aux publica-
tions. Connaissance de l'an-
glais. Déplacements assez fré-
quents en Frnnce, poste n
Paris.
service publicité propagande,
pour société de fabrication el
vente de matériel d'éclairage
25-35 ans. Bonne formation
scientifique et T.B. culture gé-
nérale, aptitude à la parole et
à la réduction. Conférences sur
tous sujets d'éclairage aux
centres à Paris et en provin-
ce - rédaction d articles et d<
texîes des'.iné aux publica-
tions. Connaissance de l'an-
glais. Déplacements assez fré-
quents en Frnnce, poste n
Paris.
5.690. Ingénieur électricien, di-
plômé, formation de préférence
Violet. ESME, Charliat, etc..
ayant 4 ans d'expérience d'ex-
ploitation de réseau moyenne
tension 4- expérience générale
dans l'exploitation électrique,
pour Sica. région parisienne.
2.3 communes agricoles. Loge-
chauffe.
plômé, formation de préférence
Violet. ESME, Charliat, etc..
ayant 4 ans d'expérience d'ex-
ploitation de réseau moyenne
tension 4- expérience générale
dans l'exploitation électrique,
pour Sica. région parisienne.
2.3 communes agricoles. Loge-
chauffe.
5.691. Conseiller auprès du di-
recteur de l'Ecole d'artisanat,
Vientiane, Laos. 9 mois, pour
améliorer >et mettre au point
les programmes d'enseigne-
ment général, la technologie et
les progressions des ateliers en
ce qui concerne, la sculpture
sur bois, la menuiserie ébé-
nisterie, le bois tourné, la fa-
brication des instruments de
musique, la fonderie, l'orfèvre-
rie, le tissage à basse lisse, la
poterie. Bonne éducation géné-
rale et connaissance étendue
des problèmes relatifs à l'orga-
nisation et au fonctionnement
d'ateliers artisanaux, formation
artistique et technique adé-
quate. Organisme international
recteur de l'Ecole d'artisanat,
Vientiane, Laos. 9 mois, pour
améliorer >et mettre au point
les programmes d'enseigne-
ment général, la technologie et
les progressions des ateliers en
ce qui concerne, la sculpture
sur bois, la menuiserie ébé-
nisterie, le bois tourné, la fa-
brication des instruments de
musique, la fonderie, l'orfèvre-
rie, le tissage à basse lisse, la
poterie. Bonne éducation géné-
rale et connaissance étendue
des problèmes relatifs à l'orga-
nisation et au fonctionnement
d'ateliers artisanaux, formation
artistique et technique adé-
quate. Organisme international
5.692. Conseiller pour les . in-
dus*nes alimentaires. Santiago
du Chili. 12 mois avec possi-
bilité de prolongation. Conseil
et assistance dans l'étude des
problèmes des petites fabriques
de l'industrie alimentaire el
recommandations sur les solu-
tions appropriées, si possible
du point de vue sectoriel. Bon-
ne connaissance en matière de
technologie des denrées ali-
mentaires. Dix ans d'expérien-
ce, au moins, dans diverses
entreprises de la branche et
de préférence : avoir occupé
des postes de responsabilité
dans le secteur de In produc-
tion. Très bonne connaissance
des divers procédés du fabrica-
tion. Connaissance de l'espa-
gnol, bonnes notions d'anglais
Organisme international
dus*nes alimentaires. Santiago
du Chili. 12 mois avec possi-
bilité de prolongation. Conseil
et assistance dans l'étude des
problèmes des petites fabriques
de l'industrie alimentaire el
recommandations sur les solu-
tions appropriées, si possible
du point de vue sectoriel. Bon-
ne connaissance en matière de
technologie des denrées ali-
mentaires. Dix ans d'expérien-
ce, au moins, dans diverses
entreprises de la branche et
de préférence : avoir occupé
des postes de responsabilité
dans le secteur de In produc-
tion. Très bonne connaissance
des divers procédés du fabrica-
tion. Connaissance de l'espa-
gnol, bonnes notions d'anglais
Organisme international
OFFRES D'EMPLOI
L'ETAT,
LES ENTREPRISES,
LES GRANDES SOCIETES,
offrent des emp ois stables et
bien rémunért's avec ou sans
diplômes, H. ft F Documenta-
tion France-Cair très (Serv.
N), 3. r. de Montyon. Paris-9'
(env. rép )
LES GRANDES SOCIETES,
offrent des emp ois stables et
bien rémunért's avec ou sans
diplômes, H. ft F Documenta-
tion France-Cair très (Serv.
N), 3. r. de Montyon. Paris-9'
(env. rép )
Recherche billets démo-
nétisés.1 monnaies argent,
bronze tous pays. Ecrire :
Thomas - C.G.C., 30, rue
de Gramont - Paris 12').
nétisés.1 monnaies argent,
bronze tous pays. Ecrire :
Thomas - C.G.C., 30, rue
de Gramont - Paris 12').
L'HAY-LES-ROSES
Cadre vend F 4 ou échange
contre F 4 ou 5, Bourg-la-
Reine, Sceaux ou Bagneux.
Agence s'abstenir. F.crire au
journal.
contre F 4 ou 5, Bourg-la-
Reine, Sceaux ou Bagneux.
Agence s'abstenir. F.crire au
journal.
Chasse samedi. 70 krn PARIS-
Est. Fte densité perdrix. Groupe
8 amis cherche 2 fusils. Par-
ticipation 1 200 F T 922 59.62
Est. Fte densité perdrix. Groupe
8 amis cherche 2 fusils. Par-
ticipation 1 200 F T 922 59.62
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lection gratuite de partis et
brochure illustrée sous pli
fermé sans marque. C.M.O.,
B. P. 116 Le Mans.
lection gratuite de partis et
brochure illustrée sous pli
fermé sans marque. C.M.O.,
B. P. 116 Le Mans.
10 a., charm. J.t., cuit., dist..
-tuai, cœur, très leg. claudica.,
dés. mar. mons. bien ts rap-
ports, bon mil., âge indifféreni.
Ecr. R.P. Nc 309 Le Creusée.
50. r. P.-Ciiarron, Paris (8'j
-tuai, cœur, très leg. claudica.,
dés. mar. mons. bien ts rap-
ports, bon mil., âge indifféreni.
Ecr. R.P. Nc 309 Le Creusée.
50. r. P.-Ciiarron, Paris (8'j
COTE D'AZUR nombreux
partis. Ecrire avec .1 um-
bres. TRAIT D'LNION,
5, rue Lamartine, NICE.
partis. Ecrire avec .1 um-
bres. TRAIT D'LNION,
5, rue Lamartine, NICE.
I
50 a., médecin vétérinaire, gd,
symp.. dist., épous. F. d inter.,
douce, cuit. Mme Butnar, 44,
Ch.-d'Antin, Paris. TRI. 29-80.
symp.. dist., épous. F. d inter.,
douce, cuit. Mme Butnar, 44,
Ch.-d'Antin, Paris. TRI. 29-80.
25 a., pharmacienne, jol., brune,
yx bleus., quai, cœur, épous.
Monsieur, b. mil., excel. moral.
Mme Desachy, 44, rue de la
Ch.-d'Antin. Paris. TRI. 29-80
yx bleus., quai, cœur, épous.
Monsieur, b. mil., excel. moral.
Mme Desachy, 44, rue de la
Ch.-d'Antin. Paris. TRI. 29-80
56 a., ht fonctionnaire, 1 m 80.
b. phys., mor., 10000 F mens.,
rec. mariage dame cultiv., b.
moralité. Mme Butnar, 44, r
Ch.-d'Antin, Paris. TRI. 29-80.
b. phys., mor., 10000 F mens.,
rec. mariage dame cultiv., b.
moralité. Mme Butnar, 44, r
Ch.-d'Antin, Paris. TRI. 29-80.
38 a., charm, brune, div. prof.,
ss enf., propr., imp. aff + rev
immeubles, dés. mar. monsieu-
b. t. rap. Mme Desachy, 44. r.
Ch.-d'Antin. Paris. TRI. 66-On.
ss enf., propr., imp. aff + rev
immeubles, dés. mar. monsieu-
b. t. rap. Mme Desachy, 44. r.
Ch.-d'Antin. Paris. TRI. 66-On.
40 a., médecin spéc., gd. symp.,
sér., quai, morales, rech. ma-
riage J.F. cultivée, douce, jo-
lie. Mme Butnar, 44, r. de la
Ch.-d'Antin. Paris. TRI. 29-80.
sér., quai, morales, rech. ma-
riage J.F. cultivée, douce, jo-
lie. Mme Butnar, 44, r. de la
Ch.-d'Antin. Paris. TRI. 29-80.
J. Fille, 33 a., jolie, mince, exe.
éduc., étud. second. Famille
cadres. Caract. agr.. quai. cœur.
Secr. direct, ds le S.O. dés. ép.
M. env. 35 ans. cultivé, exe
santé, cath., affect., bon mil.,
ing ou équiv.. exerçant préf.
dsS.O. Ecr. R.P. 310'Le Creu-
set, 50, r. P.-Charon. Paris-8'.
éduc., étud. second. Famille
cadres. Caract. agr.. quai. cœur.
Secr. direct, ds le S.O. dés. ép.
M. env. 35 ans. cultivé, exe
santé, cath., affect., bon mil.,
ing ou équiv.. exerçant préf.
dsS.O. Ecr. R.P. 310'Le Creu-
set, 50, r. P.-Charon. Paris-8'.
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avril, mai, juin, journée
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-j- 3 repas copieux variés.
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Séjour idéal à l'hôtel MEDI-
TERRANEE, le moins cher.
Chambres avec et sans pen-
sion, toutes avec w.-c., dou-
ches. Le studio-cuisine, centre
ville, près poste, rue Républi-
que.
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sion, toutes avec w.-c., dou-
ches. Le studio-cuisine, centre
ville, près poste, rue Républi-
que.
HOTEL des Bains, St-Jean-du-
Doigt (Finist.). Tél. 2. Pension
taxes, serv. compris juin
Doigt (Finist.). Tél. 2. Pension
taxes, serv. compris juin
23 F. 1" au 15 juillet 24 F,
15 au 31 juillet 25 F, août 26 F.
Conft., cuis, soign. Px pr enf.
Ch. pers seule Plage et camp
15 au 31 juillet 25 F, août 26 F.
Conft., cuis, soign. Px pr enf.
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Avril_mai : 28 F. Juin-sept. .
30 F. Juillet-août : 35 F. FOR-
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9 au 15-10 : 1 100 F pour un
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couple.
CORREZE. Hôtel Le Beausite"
St-Pardoux-La Croisille. Ail-
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St-Pardoux-La Croisille. Ail-
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un des deux sièges de titulai-
res avec 141 voix et un des
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Collèges ingénieurs et cadres
Sur 275 inscrits et avec la
totaiité des 153 suffrages expri-
més, M. Adam, de la C.G.C.,
enlève l'un des deux postes de
titulaires à pourvoir.
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(CHATOU)
DELEGUES DU PERSONNEL
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Sur 101 inscrits et 78 suffra-
ges exprimés, la C.G.C. rem-
porte les deux sièges de titu-
laires : MM. Sorin (46 v ) et
'-héritier ('6 v.) tt le siège d"
ges exprimés, la C.G.C. rem-
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voix), en devançant largement
ld liste r.O
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Georges Lebocey
et Cie
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TROYES)
Sur 84 inscrits pour le col-
lège cadres, la C G.C. obtient
un siège de suppléant pour
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au COMITE D'ENTREPRISE,
le premier avec 59 voix, le
L--Cond avec 47.
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Collège cadres et maîtrise
Sur 97 inscrits et 75 sutfra--
ges exprimés, la C.G.C., avec
26 voix, obtient un des deux
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COMITE D'ENTREPRISE
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Société
La Thermostatique
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'LES LILAS)
DELEGUES DU PERSONNEL
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Sur 89 inscrits et en devan-
çant ires largement la liste
C.G T. sont élus titulaire et
suppléant MM Fadeuilhe
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162 v ) c-t Serofani (57 v.), de
la C.G.C.
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COMITE D'ETABLISSEMENT
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£'<.' :• '• et Grangior (38
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Collège 'jadrc:. et maîtrise
Sort êhis ivec 75 voix titu-
lairr", • MM. Destrems et Gi-
nesteit : suppléants : MM
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il y a huit ans en prenant la présidence du Collège
des sciences sociales et économiques aux côtés de M. André
Malterre, qui préside son comité de perfectionnement.
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ses, associations et syndicats.
Enfin plusieurs conventions pas-
sées avec divers ministères assu-
rent le « recyclage • de femmes,
d'officiers, de cadres en chômage.
Toute cette œuvre est passion-
nante et je me réjouis d'y être
associé à André Malterre et d'y
avoir pour collaborateur L. de
Sainte Lorette, apôtre des formes
les plus modernes de l'enseigne-
ment de la gestion.
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Jacques RUEFF.
de l'Académie française.
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sociales et économiques, associa-
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menst, s'adresser 14, rue Monsieur-
le-Prince. Paris-VF, Tél. 033-
83-46 ou 184, boulevard Saint-
Germain, Paris-VI, Tél. 222-
98-55.
Depuis, le terme d'éducation
permanente est entré dans le vo-
cabulaire courant, s'il n'est pas
encore entré dans les faits.
permanente est entré dans le vo-
cabulaire courant, s'il n'est pas
encore entré dans les faits.
L'entreprise française (autant
que l'administration française),
doit répondre aux besoins renou-
velés et multipliés de la nation
et en même temps faire face à
l'avenir de concurrence et de dy-
namisme que le Marché Com-
mun, l'Europe en marche et l'in-
coercible évolution de l'économie
mondiale placent devant nous.
que l'administration française),
doit répondre aux besoins renou-
velés et multipliés de la nation
et en même temps faire face à
l'avenir de concurrence et de dy-
namisme que le Marché Com-
mun, l'Europe en marche et l'in-
coercible évolution de l'économie
mondiale placent devant nous.
Il lui faut des hommes jeunes,
mais formés aux disciplines mou-
vantes des temps nouveaux.
mais formés aux disciplines mou-
vantes des temps nouveaux.
Il lui faut constamment • re-
cycler « ses collaborateurs et ses
dirigeants, dont les connaissances
techniques exigent une réadapta-
tion permanente.
cycler « ses collaborateurs et ses
dirigeants, dont les connaissances
techniques exigent une réadapta-
tion permanente.
Il lui faut passer au niveau su-
périeur de puissance ou de con-
centration et pour cela disposer de
nombreux contacts, tant dans la
profession qu'au dehors.
périeur de puissance ou de con-
centration et pour cela disposer de
nombreux contacts, tant dans la
profession qu'au dehors.
En bref, l'entreprise est présen-
tement preneuse, plus que jamais,
de matière grise, comme elle l'a
été jadis de force musculaire et
d'énergie mécanique.
tement preneuse, plus que jamais,
de matière grise, comme elle l'a
été jadis de force musculaire et
d'énergie mécanique.
Son personnel d'encadrement
n'est pas sans bagage intellectuel,
sans aptitude à progresser, mais à
l'heure actuelle il faut, en géné-
ral, plus que ce qu'il possède,
pour survivre et beaucoup plus
pour prospérer. Les connaissances
doivent être chaque jour complé-
tées, multipliées par celles des au-
tres, sorties des spécialisations,
afin que leur bénéficiaire puisse
connaître, utiliser... et apprécier
le monde qui l'entoure, ce monde
qui lui propose le champ immense
de toutes ses possibilités.
n'est pas sans bagage intellectuel,
sans aptitude à progresser, mais à
l'heure actuelle il faut, en géné-
ral, plus que ce qu'il possède,
pour survivre et beaucoup plus
pour prospérer. Les connaissances
doivent être chaque jour complé-
tées, multipliées par celles des au-
tres, sorties des spécialisations,
afin que leur bénéficiaire puisse
connaître, utiliser... et apprécier
le monde qui l'entoure, ce monde
qui lui propose le champ immense
de toutes ses possibilités.
L'aptitude du changement doit
donc caractériser désormais l'in-
génieur ou le comptable tout
comme le chef d'entreprise ; mais
cette aptitude au changement
doit aussi être le fait des fonction-
naires de tous rangs et des mem-
bres des professions libérales.
donc caractériser désormais l'in-
génieur ou le comptable tout
comme le chef d'entreprise ; mais
cette aptitude au changement
doit aussi être le fait des fonction-
naires de tous rangs et des mem-
bres des professions libérales.
A tous, depuis vingt ans, le
Collège des sciences sociales et
économiques ouvre les portes des
conférences d'initiation économi-
que, de ses cours du soir et par
correspondance, touchant à la vie
de l'entreprise, ainsi que de ses
cours supérieurs de langues vi-
vantes.
Collège des sciences sociales et
économiques ouvre les portes des
conférences d'initiation économi-
que, de ses cours du soir et par
correspondance, touchant à la vie
de l'entreprise, ainsi que de ses
cours supérieurs de langues vi-
vantes.
L'Institut d'administration et
gestion que nous avons fondé cette
année à l'intention des cadres di-
rigeants organise des sessions de
courte et de longue durée, et des
séminaires au sein des entrepri-
gestion que nous avons fondé cette
année à l'intention des cadres di-
rigeants organise des sessions de
courte et de longue durée, et des
séminaires au sein des entrepri-
LES EVENEMENTS DU QUARTIER LATIN
LA Confédération Générale des
Cadres condamne les consi-
gnes, d'où qu'elles viennent,
qui ont entraîné le déferlement
des violences, transformant le
Quartier latin en un champ de
bataille.
Cadres condamne les consi-
gnes, d'où qu'elles viennent,
qui ont entraîné le déferlement
des violences, transformant le
Quartier latin en un champ de
bataille.
Elle dénonce les défaillances
nombreuses des autorités respon-
sables, et notamment du gouver-
nement, dans la définition et
l'application d'une politique au-
thentique de la jeunesse, donnant
un sens à son existence et une
place dans notre société, en lui
assurant surtout des débouchés
dans la vie économique et sociale
de la nation.
nombreuses des autorités respon-
sables, et notamment du gouver-
nement, dans la définition et
l'application d'une politique au-
thentique de la jeunesse, donnant
un sens à son existence et une
place dans notre société, en lui
assurant surtout des débouchés
dans la vie économique et sociale
de la nation.
Elle demande que les autorités
qualifiées, prenant enfin cons-
cience de leurs responsabilités,
définissent une politique de na-
ture à créer les conditions
d'apaisement des esprits par une
libre confrontation des idées en-
tre les Pouvoirs Publics et
l'Université d'une part, les ensei-
gnants et les étudiants d'autre
Part 7 mai.
qualifiées, prenant enfin cons-
cience de leurs responsabilités,
définissent une politique de na-
ture à créer les conditions
d'apaisement des esprits par une
libre confrontation des idées en-
tre les Pouvoirs Publics et
l'Université d'une part, les ensei-
gnants et les étudiants d'autre
Part 7 mai.
TRANSPORTS
ET TOURISME
ET TOURISME
Les officiers de la Marine
marchande obtiennent un
fructueux accord de trois ans
ENTAMEES le 23 avril, des
négociations avec le Comité
Central des Armateurs de
France ont abouti le 14 mai à un
accord sur un iplan de trois ans.
négociations avec le Comité
Central des Armateurs de
France ont abouti le 14 mai à un
accord sur un iplan de trois ans.
Si le protocole n'est pas encore
rédigé, on peut néanmoins en indi-
quer les grandes lignes :
rédigé, on peut néanmoins en indi-
quer les grandes lignes :
A) Au 1er mai 1968 : augmentation
de 6 % des soldes et de 4 % de la
nourriture ; prime de tenue de
0,7% incorporée à la solde; solde
de disponibilité à 80% de celle
d'embarquement ; prime d'éloigne-
ment aménagée ; relève après cinq
mois d'embarquement.
de 6 % des soldes et de 4 % de la
nourriture ; prime de tenue de
0,7% incorporée à la solde; solde
de disponibilité à 80% de celle
d'embarquement ; prime d'éloigne-
ment aménagée ; relève après cinq
mois d'embarquement.
Au 1"r octobre : un demi-jour de
congé supplémentaire par mois
d'embarquement.
congé supplémentaire par mois
d'embarquement.
Au 1"r janvier 1969 : institution,
facultative pour l'officier, d'une as-
surance-décès-invalidité à participa-
tion majorit9ire de l'armateur et
participation complémentaire du
bénéficiaire.
facultative pour l'officier, d'une as-
surance-décès-invalidité à participa-
tion majorit9ire de l'armateur et
participation complémentaire du
bénéficiaire.
B) Au 1er mal 1969 : augmentation
à déterminer des soldes et de la
nourriture pour tenir compte de la
variation des prix ; bonification de
1 % des soldes pour améliorer le
pouvoir d'achat ; solde de disponi-
bilité à 90% de celle d'embarque-
ment ; institution d'une prime de fin
d'année hiérarcr'lséo pa- 'apport à
celle du personne! subalterne pour
application en fin d'année.
à déterminer des soldes et de la
nourriture pour tenir compte de la
variation des prix ; bonification de
1 % des soldes pour améliorer le
pouvoir d'achat ; solde de disponi-
bilité à 90% de celle d'embarque-
ment ; institution d'une prime de fin
d'année hiérarcr'lséo pa- 'apport à
celle du personne! subalterne pour
application en fin d'année.
Au 1"' octobre 1969 : un nouveau
demi-jour de congé supplémentaire
par mois d'embarquement.
demi-jour de congé supplémentaire
par mois d'embarquement.
C) Au 1"' mai 1970 : mêmes moda-
lités pour la variation de la solde
et de la nourriture et pour l'amé-
lioration du pouvoir d'achat.
lités pour la variation de la solde
et de la nourriture et pour l'amé-
lioration du pouvoir d'achat.
Les autres questions seront exa-
minées lors de la révision de la
Convention collective.
minées lors de la révision de la
Convention collective.
Patronné par le Collège des sciences sociales
et économiques, dont le Comité de perfectionnement
est présidé par André MALTERRE, le
CENTRE DE FORMATION SUPERIEURE DES
CADRES DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE
CADRES DU COMMERCE ET DE L'INDUSTRIE
forme les jeunes à l'administration et à la gestion
d'entreprise
d'entreprise
— deux années d'études,
— admissions sur titre pour les bacheliers, après examen
pour les non-bacheliers.
pour les non-bacheliers.
184, bd Saint-Germain, Paris-6' — Tél. : 222-11-53 et 08-55
LA CONFEDERATION GENERALE DES CADRES.
— s'indigne des atermoiements du Gouvernement devant les
problèmes de la jeunesse estudiantine et sa carence à rechercher
dans cette crise de véritables solutions d'apaisement ;
problèmes de la jeunesse estudiantine et sa carence à rechercher
dans cette crise de véritables solutions d'apaisement ;
— dénonce l'incapacité des Pouvoirs Publics qui ont laissé se
développer une situation qui a fatalement abouti à des excès et des
brutalités hautement condamnables ;
développer une situation qui a fatalement abouti à des excès et des
brutalités hautement condamnables ;
— recommande aux étudiants de se séparer des perturbateurs
décidés à exploiter leur mouvement à d'autres fins :
décidés à exploiter leur mouvement à d'autres fins :
— demande à ses adhérents de marquer lundi, par un arrêt de
travail, la solidarité des cadres d'aujourd'hui avec ceux de demain :
travail, la solidarité des cadres d'aujourd'hui avec ceux de demain :
— affirme sa disponibilité totale pour apporter son concours à ia
recherche des solutions nécessaires.
recherche des solutions nécessaires.
11 MAI
oOo
oOo
Le Bureau de la Confédération Générale des Cadres réuni le di-
manche 12 mai à 22 heures, après avoir fait le point de la situation
et rappelé son attachement à la légalité républicaine,
manche 12 mai à 22 heures, après avoir fait le point de la situation
et rappelé son attachement à la légalité républicaine,
— regrette que les mesures gouvernementales aient été prises s!
tardivement et qu'une fois de plus les problèmes soient traités sous
la pression de la violence ;
tardivement et qu'une fois de plus les problèmes soient traités sous
la pression de la violence ;
— maintient en conséquence les consignes de cessation de travail
dans les conditions du communiqué du 11 mai, c'est-à-dire que la
C.G.C. laisse à ses Fédérations professionnelles, syndicats nationaux
et Unions régionales le soin d'en limiter la durée après en avoir
informé les directions générales des entreprises ;
dans les conditions du communiqué du 11 mai, c'est-à-dire que la
C.G.C. laisse à ses Fédérations professionnelles, syndicats nationaux
et Unions régionales le soin d'en limiter la durée après en avoir
informé les directions générales des entreprises ;
— demande à ses adhérents de ne pas participer aux manifesta-
tions décidées par des organisations syndicales influencées par des
partis politiques.
tions décidées par des organisations syndicales influencées par des
partis politiques.
Ainsi est précisé le sens de cet arrêt de travail :
— réforme de l'Université et de ses programmes pour les adapter
aux réalités actuelles ;
aux réalités actuelles ;
— mise en place d'une politique active de l'emploi aussi bien
pour les étudiants, futurs cadres, que pour les cadres en exercice ;
pour les étudiants, futurs cadres, que pour les cadres en exercice ;
— première expression de la colère des cadres devant les mena-
ces qui les préoccupent ;
ces qui les préoccupent ;
— disponibilité de la Confédération Générale des Cadres pour
apporter son concours à la recherche des solutions nécessaires et
son aide aux étudiants pour leur Insertion dans la société contem-
poraine.
apporter son concours à la recherche des solutions nécessaires et
son aide aux étudiants pour leur Insertion dans la société contem-
poraine.
12 MAI
I
AC
institut de mécanographie appliquée
30 rue des Marguettes Paris XII Tel 344.42.88
Ecole de Promotion Sociale A.C.
Agréée par le Ministère de l'Education Nationale
Autorisation N° 42.159
FORMATION
PROMOTION
READAPTATION
RECYCLAGE
RECONVERSION
IMAQ
un institut uniquement spécialisé dans la
formation professionnelle, aux fonctions de
conduite des ordinateurs et du traitement
de l'information, dans le cadre de la promo-
tion sociale et du plan calcul.
formation professionnelle, aux fonctions de
conduite des ordinateurs et du traitement
de l'information, dans le cadre de la promo-
tion sociale et du plan calcul.
COURS DU JOUR - COURS DU SOIR -TRAVAUX PRATIQUES
COURS PAR CORRESPONDANCE - SOFTWARE AVANCE
COURS PAR CORRESPONDANCE - SOFTWARE AVANCE
VERS UNE NOUVELLE RÉFORME
DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
DE LA SÉCURITÉ SOCIALE
M
ME Batier, MM. Berger, Belcourt, Bisson, Hébert,
Miussic, Peyret, Vertalier, députés du groupe « Union
_ Démocratique pour la V° République », viennent de
Miussic, Peyret, Vertalier, députés du groupe « Union
_ Démocratique pour la V° République », viennent de
E déposer sur le bureau de l'Assemblée Nationale une propo-
j! sition de loi portant réforme de l'organisation administrative
= et financière de la sécurité sociale.
j! sition de loi portant réforme de l'organisation administrative
= et financière de la sécurité sociale.
Ces huit parlementaires se sont
fortement inspirés du texte de
l'ordonnance n" 67-706 du 21 août
1967, si l'on considère que 83 arti-
cles sur 85 restent inchangés. L'un
d'eux, docteur en médecine et
maire d'une ville du littoral de la
Manche, avait déjà imaginé de
réduire les prestations en fonction
des ressources des assurés so-
ciaux, en leur imposant des coti-
sations proportionnelles à leurs
revenus.
fortement inspirés du texte de
l'ordonnance n" 67-706 du 21 août
1967, si l'on considère que 83 arti-
cles sur 85 restent inchangés. L'un
d'eux, docteur en médecine et
maire d'une ville du littoral de la
Manche, avait déjà imaginé de
réduire les prestations en fonction
des ressources des assurés so-
ciaux, en leur imposant des coti-
sations proportionnelles à leurs
revenus.
Ce très bel effort d'imagination
a porté essentiellement sur l'expo-
sé des motifs, le contrôle médical
et sur deux articles de l'organi-
sation financière de la sécurité
sociale.
a porté essentiellement sur l'expo-
sé des motifs, le contrôle médical
et sur deux articles de l'organi-
sation financière de la sécurité
sociale.
La Confédération Générale des
Cadres, dont les administrateurs
participent officiellement depuis
1950 à la gestion des organismes
de sécurité sociale et, par consé-
quent, ont suivi l'évolution des
recettes et des dépenses, regrette
profondément que des parlemen-
taires semblent ignorer les aver-
tissements lancés par les cadres
depuis plus de dix années auprès
des ministres du Travail ou des
Affaires sociales pour limiter le
déséquilibre financier de la sécu-
rité sociale.
Cadres, dont les administrateurs
participent officiellement depuis
1950 à la gestion des organismes
de sécurité sociale et, par consé-
quent, ont suivi l'évolution des
recettes et des dépenses, regrette
profondément que des parlemen-
taires semblent ignorer les aver-
tissements lancés par les cadres
depuis plus de dix années auprès
des ministres du Travail ou des
Affaires sociales pour limiter le
déséquilibre financier de la sécu-
rité sociale.
Les troisième et quatrième
alinéas de l'exposé des motifs
laissent sceptiques ceux qui ont
suivi l'évolution des budgets de la
sécurité sociale et notamment ce-
lui de l'assurance-maladie, en
déficit permanent depuis 1947.
alinéas de l'exposé des motifs
laissent sceptiques ceux qui ont
suivi l'évolution des budgets de la
sécurité sociale et notamment ce-
lui de l'assurance-maladie, en
déficit permanent depuis 1947.
Ces deux alinéas sont ainsi
rédigés :
rédigés :
« Ce qui est anormal, c'est que
les Pouvoirs publics et avec eux
l'opinion publique dûment éclai-
les Pouvoirs publics et avec eux
l'opinion publique dûment éclai-
rée et informée n'aient pas, de-
puis longtemps, compris qu'il était
inévitable de reconsidérer l'en-
semble du problème posé par la
sécurité sociale, et de lui apporter
une solution neuve.
puis longtemps, compris qu'il était
inévitable de reconsidérer l'en-
semble du problème posé par la
sécurité sociale, et de lui apporter
une solution neuve.
> II n'est pas normal que le
déficit — comptable et réel — de
la sécurité sociale n'ait pas été
PREVU A TEMPS, CE QUI AU-
RAIT PERMIS D'ETUDIER A
FROID des mesures rationnelles
et de les mettre en œuvre de
façon progressive en temps op-
portun. On aurait pu alors élabo-
rer dans ses détails un plan de la
sécurité sociale comportant des
étapes et aboutissant à une ré-
forme totale du SYSTEME
COMPLEXE, IRRATIONNEL ET
INSUFFISANT QUI EST AC-
TUELLEMENT EN VIGUEUR. .
déficit — comptable et réel — de
la sécurité sociale n'ait pas été
PREVU A TEMPS, CE QUI AU-
RAIT PERMIS D'ETUDIER A
FROID des mesures rationnelles
et de les mettre en œuvre de
façon progressive en temps op-
portun. On aurait pu alors élabo-
rer dans ses détails un plan de la
sécurité sociale comportant des
étapes et aboutissant à une ré-
forme totale du SYSTEME
COMPLEXE, IRRATIONNEL ET
INSUFFISANT QUI EST AC-
TUELLEMENT EN VIGUEUR. .
Ce n'est pas nous qui qualifions
d'irrationnel le système actuel de
la sécurité sociale, mais bien des
députés de la majorité \
d'irrationnel le système actuel de
la sécurité sociale, mais bien des
députés de la majorité \
Qu'il nous soit toutefois permis
de relever à leur intention que les
ordonnances du 21 août 1967 por-
tant réforme de la sécurité sociale
ont été prises dans des conditions
condamnées par notre Confédéra-
tion plus de trois ans après la
publication d'un rapport rédigé
par une commission interministé-
rielle présidée par M. Dobler,
inspecteur général des Finances.
de relever à leur intention que les
ordonnances du 21 août 1967 por-
tant réforme de la sécurité sociale
ont été prises dans des conditions
condamnées par notre Confédéra-
tion plus de trois ans après la
publication d'un rapport rédigé
par une commission interministé-
rielle présidée par M. Dobler,
inspecteur général des Finances.
Citons au hasard des coupures
de presse quelques titres évoca-
teurs de la situation financière de
la sécurité sociale et de l'impé-
rieuse nécessité de procéder
depuis plus de trois ans à des
mesures de redressement finan-
cier.
de presse quelques titres évoca-
teurs de la situation financière de
la sécurité sociale et de l'impé-
rieuse nécessité de procéder
depuis plus de trois ans à des
mesures de redressement finan-
cier.
• Le déficit a triplé en un an.
Modernisez votre foyer
avec un lave-vaisselle
Grande capacité. Système à triple dispersion.
Lave-vaisselle automatique d'une perfection inégalée.
Libérée pour toujours de la corvée "vaisselle" !
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Le ministre du Travail, Gilbert
Grandval, lance un véritable
S.O.S. à de Gaulle ; le point de
rupture de l'équilibre financier
est proche. La solution ne pourra
être trouvée dans le système
actuel. » (France-Soir, juin 1964.)
« Les cadres vont-ils faire les
frais du déséquilibre de la sécu-
rité sociale ? Les salaires au-des-
sus du plafond seraient soumis à
une cotisation supplémentaire de
1 ou 2 ";. . (L'Eclair, 24 juillet
1965.)
Grandval, lance un véritable
S.O.S. à de Gaulle ; le point de
rupture de l'équilibre financier
est proche. La solution ne pourra
être trouvée dans le système
actuel. » (France-Soir, juin 1964.)
« Les cadres vont-ils faire les
frais du déséquilibre de la sécu-
rité sociale ? Les salaires au-des-
sus du plafond seraient soumis à
une cotisation supplémentaire de
1 ou 2 ";. . (L'Eclair, 24 juillet
1965.)
• Tempête syndicale contre les
projets visant la sécurité sociale.
La C.G.C. ne peut admettre le
déplafonnement des salaires sou-
mis à cotisation. • (Les Echos.
26 mars 1966.)
projets visant la sécurité sociale.
La C.G.C. ne peut admettre le
déplafonnement des salaires sou-
mis à cotisation. • (Les Echos.
26 mars 1966.)
• Les experts du plan proposent
des mesures sévères pour combler
le déficit de la sécurité sociale,
mais le gouvernement ne prendra
position que fin 1966. • (Les
Echos, 7 avril 1966.)
des mesures sévères pour combler
le déficit de la sécurité sociale,
mais le gouvernement ne prendra
position que fin 1966. • (Les
Echos, 7 avril 1966.)
Il s'agissait à l'époque du pro-
blème soulevé par la commission
des prestations sociales du V Plan,
dont les travaux commencés après
le vote du Pian par le Parlement
ne pouvaient plus avoir qu'un
f-aractère indicatif.
blème soulevé par la commission
des prestations sociales du V Plan,
dont les travaux commencés après
le vote du Pian par le Parlement
ne pouvaient plus avoir qu'un
f-aractère indicatif.
Il est inutile de poursuivre une
énumération confirmant la néces-
sité de procéder à une réforme
de la sécurité sociale, ainsi que
les déclarations de notre Confédé-
ration sur la conception que nous
nous faisons du principe de cet
organisme.
énumération confirmant la néces-
sité de procéder à une réforme
de la sécurité sociale, ainsi que
les déclarations de notre Confédé-
ration sur la conception que nous
nous faisons du principe de cet
organisme.
Pour nous, ce principe est celui
d'une assurance collective desti-
née à atténuer l'effet de certaines
charges ou de certains risques sur
le niveau de vie des individus et
des familles. Il ne peut être ni
devenir l'instrument d'une redis-
tribution des revenus entre les
différentes catégories sociales.
d'une assurance collective desti-
née à atténuer l'effet de certaines
charges ou de certains risques sur
le niveau de vie des individus et
des familles. Il ne peut être ni
devenir l'instrument d'une redis-
tribution des revenus entre les
différentes catégories sociales.
La solidarité invoquée par les
partisans de cette doctrine se ma-
nifeste déjà au moyen de l'impôt
et la C.G.C. ne saurait admettre
que la sécurité sociale se trans-
forme en un système fiscal
aggravant les injustices de l'impôt
sur le revenu des personnes phy-
siques.
partisans de cette doctrine se ma-
nifeste déjà au moyen de l'impôt
et la C.G.C. ne saurait admettre
que la sécurité sociale se trans-
forme en un système fiscal
aggravant les injustices de l'impôt
sur le revenu des personnes phy-
siques.
Les auteurs de cette nouvelle
proposition de loi ne cachent pas
leur objectif ; ils le déclarent
ouvertement au cinquième alinéa
de l'exposé des motifs : « c'est
l'institution d'un système cohé-
rent de sécurité sociale nationale
fondé sur la SUBSTITUTION DE
LA SOLIDARITE A L'ASSU-
RANCE ».
proposition de loi ne cachent pas
leur objectif ; ils le déclarent
ouvertement au cinquième alinéa
de l'exposé des motifs : « c'est
l'institution d'un système cohé-
rent de sécurité sociale nationale
fondé sur la SUBSTITUTION DE
LA SOLIDARITE A L'ASSU-
RANCE ».
Nous sommes d'accord pour
admettre qu'il existe ' des cas
sociaux, nous l'avons assez répété
dans les colonnes du Creuset,
mais les critères de modulation
admettre qu'il existe ' des cas
sociaux, nous l'avons assez répété
dans les colonnes du Creuset,
mais les critères de modulation
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LE CREUSET
Le directeur de la publication
André MALTERRE
André MALTERRE
REAUMUR
100. rue Réaumur.
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Paris (2»)
Travail exécuté par
des ouvriers syndiq
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126.500 ex.
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Publicité : Régie Promotion. 50. ru»
Pmrrs-Charron, Parts-*. Tel 225-61-20 4
Pmrrs-Charron, Parts-*. Tel 225-61-20 4
du ticket modérateur doivent être
précisés par ceux qui proposent
que le taux de remboursement
des dépenses médicales et phar-
maceutiques soit rétabli pour les
assurés aux ressources modestes
a ce qu'il était antérieurement.
précisés par ceux qui proposent
que le taux de remboursement
des dépenses médicales et phar-
maceutiques soit rétabli pour les
assurés aux ressources modestes
a ce qu'il était antérieurement.
On ne parle plus de « pauvre »
ou de • riche •, mais on emploie
maintenant le terme de • revenus
modestes ».
ou de • riche •, mais on emploie
maintenant le terme de • revenus
modestes ».
Nous ne pouvons accepter ces
termes imprécis, qui cachent l'in-
tention des auteurs de program-
mes économiques et sociaux de
différencier les remboursements
d'une même dépense en fonction
des revenus des intéressés.
termes imprécis, qui cachent l'in-
tention des auteurs de program-
mes économiques et sociaux de
différencier les remboursements
d'une même dépense en fonction
des revenus des intéressés.
En introduisant dans l'article 18
de leur proposition de loi l'insti-
tution d'une taxe frappant les
produits, objets, dispositifs, ma-
chines, installations, établisse-
ments, dont l'existence ou l'utili-
sation SONT OU PEUVENT être
la cause de dépenses pour la
sécurité sociale, sauf dans la me-
sure où ces dépenses relèvent
intégralement de l'assurance acci-
dent ou maladie professionnelle
dont la liste serait établie par
décret, ses auteurs laissent le
champ libre à l'arbitraire.
de leur proposition de loi l'insti-
tution d'une taxe frappant les
produits, objets, dispositifs, ma-
chines, installations, établisse-
ments, dont l'existence ou l'utili-
sation SONT OU PEUVENT être
la cause de dépenses pour la
sécurité sociale, sauf dans la me-
sure où ces dépenses relèvent
intégralement de l'assurance acci-
dent ou maladie professionnelle
dont la liste serait établie par
décret, ses auteurs laissent le
champ libre à l'arbitraire.
Comment seront déterminées les
installations qui peuvent être la
cause de dépenses pour la sécurité
sociale ?
installations qui peuvent être la
cause de dépenses pour la sécurité
sociale ?
Une taxe supplémentaire frap-
pant les entreprises est-elle oppor-
tune à une période où elles vont
affronter la concurrence de leurs
homologues du Marché commun ?
pant les entreprises est-elle oppor-
tune à une période où elles vont
affronter la concurrence de leurs
homologues du Marché commun ?
Que signifie l'éventualité d'ali-
menter le budget des prestations
sociales par une cotisation forfai-
taire fixée par arrêté du ministre
des Affaires sociales POUR CER-
TAINES CATEGORIES DE SA-
LARIES OU ASSIMILES ?
menter le budget des prestations
sociales par une cotisation forfai-
taire fixée par arrêté du ministre
des Affaires sociales POUR CER-
TAINES CATEGORIES DE SA-
LARIES OU ASSIMILES ?
Les agents de maîtrise et les
cadres ne se sentent-ils pas visés
par cette définition ?
cadres ne se sentent-ils pas visés
par cette définition ?
Autant de questions auxquelles
nous demandons une réponse,
nous demandons une réponse,
La Confédération Générale des
Cadres ne saurait accepter de
nouvelles mesures discrimina-
toires inscrites dans des proposi-
tions de loi. Elle demande à ses
Cadres ne saurait accepter de
nouvelles mesures discrimina-
toires inscrites dans des proposi-
tions de loi. Elle demande à ses
adhérents d intervenir auprès des
députés appartenant au groupe
. Union Démocratique pour la
V" République • afin que cette
proposition de loi, qui ne règle
pas le problème du déséquilibre
financier de la sécurité sociale, ne
vienne pas en discussion, mais
qu'ils acceptent au contraire de
soutenir deux amendements aux
ordonnances du 21 août 1967 dont
l'initiative revient à la Confédé-
ration Générale des Cadres, l'un
portant référence au décret du
29 août 1962 fixant les règles
d'évolution du plafond de la sé-
curité sociale, l'autre ramenant
toutes les cotisations au plafond
de l'année 1968, soit à 1.200 F par
mois.
députés appartenant au groupe
. Union Démocratique pour la
V" République • afin que cette
proposition de loi, qui ne règle
pas le problème du déséquilibre
financier de la sécurité sociale, ne
vienne pas en discussion, mais
qu'ils acceptent au contraire de
soutenir deux amendements aux
ordonnances du 21 août 1967 dont
l'initiative revient à la Confédé-
ration Générale des Cadres, l'un
portant référence au décret du
29 août 1962 fixant les règles
d'évolution du plafond de la sé-
curité sociale, l'autre ramenant
toutes les cotisations au plafond
de l'année 1968, soit à 1.200 F par
mois.
Coientin CALVEZ.
secrétaire général p.i.
de la C.G.C.
Répondez à l'enquête
salaires
salaires
COMME chaque année, la
C.G.C. vient de lancer
une enquête auprès de
ses adhérents pour déterminer
des éléments d'appréciation
des salaires.
C.G.C. vient de lancer
une enquête auprès de
ses adhérents pour déterminer
des éléments d'appréciation
des salaires.
La grande majorité des lec-
teurs du Creuset, dont les ac-
tivités se situent dans les sec-
teurs intéressés par l'enquête,
vont recevoir le questionnaire
qu'ils voudront bien retourner
dûment rempli le plus rapide-
ment possible au siège de la
Confédération.
teurs du Creuset, dont les ac-
tivités se situent dans les sec-
teurs intéressés par l'enquête,
vont recevoir le questionnaire
qu'ils voudront bien retourner
dûment rempli le plus rapide-
ment possible au siège de la
Confédération.
Ne sont pas concernés par
cette enquête les cadres et
agents de maîtrise du secteur
nationalisé, de la fonction pu-
blique, les V.R.P., et les ca-
dres de la métallurgie qui ré-
pondent à une enquête de leur
fédération.
cette enquête les cadres et
agents de maîtrise du secteur
nationalisé, de la fonction pu-
blique, les V.R.P., et les ca-
dres de la métallurgie qui ré-
pondent à une enquête de leur
fédération.
Pour favoriser l'action de la
C.G.C., répondez à l'enquête
salaires.
C.G.C., répondez à l'enquête
salaires.
assurance
des prix
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Société de Courtage d'Assurances
Société de Courtage d'Assurances
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de Compagnies de premier ordre) à
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103, boulevard Haussmann, Paris 8e \
Tél. 265.00.24 et 265.84.20
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L'Aufo-Club des Cadres est à votre service pour tout ce qui
touche à la voiture et aux loisirs: assurance, crédit, touris-
me, camping, nautisme, équitation, sports, théâtre etc...
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Haussmann Paris 8e Tél. 265 00-24 et 265 84-20.
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Nom
Prénom
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Profession _____________
Etes-vous Salarié, Cadre, Fonctionnaire ? (rayez !es mentions mutiles)
Marque voiture __ Type _____ ___
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Force __ Année _ Usage __
Category
Title
Le Creuset
Issue
no.527
Date
18/05/1968
Keywords
Publication information
no.527