L'Humanité nouvelle

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« PROLETAIRES DE TOUS LES PAYS,
NATIONS ET PEUPLES OPPRIMES,
UNISSEZ-VOUS ! »
REDACTION- ADMINISTRATION :
40, BD MAGENTA - PARIS (1CT)
Tél. : COM. 05-13
CCP 21-283-37 Paris
ORGANE CENTRAL
DU PARTI COMMUNISTE MARXISTE-LÉNINISTE
DE FRANCE
SEMAINE DU 23 MAI
AU 30 MAI 1968
ANNEE - N° 103 -
EN AVANT POUR UN POUVOIR populaire
révolutionnaire
DEJOUONS LES MANOEUVRES DES nc
AU SERVICE Oli LA BOURGEOISIE !
ARRACHONS LEUR LE POUVOIR A LA 13 A SE, DANS
LES ENT!^: PMSES, DANS LES UNIVERSITES !
ORGANISONS NOUS A LA BASE ET DANS L'ACTION
" Pour faire la révolution, il faut qu'
il y ait un parti révolutionnai re . Saris
un parti révolutionnaire, sans un parti
fondé sur la théorie révolutionnaire
marxiste-léniniste et le style révolution
naire marxiste-léninis te, il est impossi-
ble de conduire la classe ouvrière et les
grandes masses pomlaires à la victoire dan:
leur lutte contre l'impérialisme et ses
valets."
MAO TSE-TOUNG
calomnies et arguties du bureau politi-
que du parti de Waldeck ROC'iET ou i» bu-
reau confédéral de Georges SEG1T, et qui
utilisent abondamment l'actif soutien ap-
porté à de GALI.'.E tant par les ultra-rôvi-
sionnistes de ROUMANIE que par la clique
dirigeante do l'UNION SOVI"TIr;i "E.
LE;
TROIS ASPECTS PRINCIPAUX IU LA SITUATION
La situation ainsi créée se caractérise
donc :
1°) par la volonté révolutionnaire
des travailleurs manuels et intellectuels
auxquels vont se joindre les masses paysan-
Au troisième j«ur du grand mouvement
révolutionnaire contre le pouvoir des mo-
nopoles, la grève paralyse toutes les in
dustries, toutes les administrations et
services publics, toute l'université.
Malgré le refus des états-major syndicaux
de lancer le mot d'ordre de "grève généra
le illimitée", les travailleurs unis à la
b»se et dans l'action, débordent largement
tous ceux qui s'emploient à freiner le dé-
veloppement de la lutte.
Migré les consignes bureaucratiques et au-
toritaires de Georges SEGUY, secrétaire gé-
néral de la C.G.T., les ouvriers pratiquent
des formes nouvelles de la lutte des classes
plus dures et plus efficaces que celles dé-
jà expérimentées en 1936 et en 19^7 • par
exemple, ils enferment dans leurs bureaux
les directeurs et présidents directeurs gé-
néraux. Au surplus, ils se refusent à limi-
ter leurs objectifs de combat à des revendi-
cations seulement sociales, comme le vou-
draient SEGUY et DESCAMPS, et politi.sent
spontanément le mouvement, en posant comme
exigence prioritaire le RENVERSEMENT DU POU-
VOIR DES MONOPOLES.
De tels faits attestent d'une très grande
combativité des masses laborieuses. Les a-
dhérents et militants de base de la C.G.T.
comme du P."C."F. agissent souvent de façon
positive contrairement aux directives qu'ils
reçoivent de leurs plus hauts dirigeants et
qu'ils d é snprouven t en «*.e nombreux cas.
Face à cette situation dont ils n'ont pas eu
l'initiative et qui les a débordés, les di-
rigeants révisionnistes et réformistes des
DÉCLARATION
du comité central
du PARTI COMMUNISTE
MA 11XIS TE -L EN INI STli
DE FR4NCE
nés. L'ensemble de ces conciles sociales re-
présente l'in:.,ense majorité des forces pro-
ductives d" la nation, aspirant au socialis-
me .
2°) par la résistance »iu pouvoir des monopo-
les, que manifestent les nombreuses réunions
tenues par PO.>.PIDOU et ses ministres avec de
GAULLE revenu préciptanr iciit <Je 'ÎOIMV.1E en
présence des, pins hauts responsables Je s or-
ganes répressifs de l'état bour ••-"•ois : armr e .
police, g<-ndar'.;eri f , et par i ' a ! 1 ia>-.ce ouver-
te dans la rue des groupes activistes gaullis-
tes et fascistes.
3°) par les manoeuvres des dirigeants révi-
sionnistes et réformistes des syndicats, du
faux parti communiste, et i'o la social-démo-
cratie, tous ces politiciens sclérosés et co>-
rompus annonçant à granH tapage qu'ils sont
prêts à "assumer leurs responsabilités" et à
"s'emparer du pouvoir" tout en s'efforçant de
rassurer la bourgeoisie qu'ils entendent sau-
ver et servir une fois tie plus.
Cette unité est possible à la condition
que les masses agissent conformément à
la volonté des ouvriers les plus exploités,
des paysans les plus pauvres, des étudiants
les plus avancés.
Pour permettre à cette volonté de s'expri-
mer et de se consolider, les masses en mou-
vement doivent constituer, d'urgence et par-
tout, des comités de base, conseils ouvriers
paysans ou étudiants, plaçant sous leur con-
trôle permanent tout dirigeant Qu'elles dési-
gnent et qui reste susceptible d'être immé-
diatement remplacé s'il trahit.
Au surplus, ces comités de base doivent éta-
blir i liiir.éd la t e;non t ries liaisons entre eux
pour coordonner leur combat.
Si le pouvoir des monopoles est contraint à
se démettre, la bourgeoisie essayera de le
remplacer par des formes parlementaires qui
ont déjà fait la preuve de leur nocivité.
MITTERRAND, MEN])!' 3-FR \\ CE , Waldeck HOCHET
et Georges SEGUY lui offrent déjà leurs ser-
vices dans ce but .
Le pouvoir devra rester aux masses populai-
res, dont la vigilance devra s'exercer avec
intensité pour empêcher que ne soit usurpée
leur victoire révolutionnaire.
Tl convient ton h spécialement oie déjouer les
manoeuvres de la social-d -'inocra ti e qui sont
appuyées en sous-main par l'impérialisme a-
méricaln, et de ce fait bénéficient des fa-
veurs des centristes LECANUET, GISCARD d ' ES-
TM\G et autres réactionnaires <ie tous poils.
S USINES !
VIVE
VT\M:
C A M ;
VIVE Lf: POI:VOTR D:;.; ET ETANTS R: VOLUTION-
X ' 1RES A L'UNIVERSITE !
VIVE LE POUVOIR POPL'LAIKM ET REVOLUTION-
NAIRE !
Paris, le 2O mai 1968-14 heures
UNITE A LA BASE ET DANS L'ACTION !
Dans ces conditions, le comité central du
PARTI COMMUNISTE MARXISTE-LENINISTE DE FRANCE
traduisant la volonté profonde des travailleurs
"grandes centrales", C.G.T. en tête, essayent *e notre, P';ys .
un appel solennel pour
de tenir avec habileté et souplesse leur rô-
le historique de défenseurs de la société
capitaliste, infiltrés dans les rangs de la
classe ouvrière.
C'est pourquoi ils multiplient leurs efforts
pour empêcher tout contact entre les ouvriers
en grève et les étudiants qui ont allumé,
les premiers, et au prix '=e leur sang, l'é-
tincelle de la révolte contre le régime qu'
incarne le directeur de banque POMPIDOU.
Ils tentent également
les tins des autres.
Dans ces eut re p r i ses,
actif et intéressé de
bourgeoisie affolée
d'isoler les grévistes
ils reçoivent l'a;r,ui
tous les OT-^aries r'.e la
grande presse, radio
que se réalise, à la base et dans l'action, la
plus solide unité de combat révolutionnaire
entre ouvriers, paysans et étudiants.
Seule une te.lle unité, solidement implantée
dans les usines, sur les chantiers, dans les
administrations et services publics, dans les
campagnes, dans les facultés, lycées et col-
lèges, peut parvenir au renversement du pouvor
des monopoles, empêcher q"e la bourgeoisie ne
recoure, pour préserver ses intérêts et privi-
lèges Ac classe, au service des poli tici eus
sociaux-démocrate s et révisionnistes, stopper
net enfin tout:1 tentative de putch de carac-
tère fasci ste.
____
et télévision, qui reprennent hâtive -l
•lit
COM> ENT
N'AIDE ?
L'UNITE nu OOMHAT REVOLUTION
A NOS LECTEURS,
A NOS CAMARADES,
A TOUS NCS AMIS
Le mouvement rie grève s'étant étendu à
l'imprimerie, nous avons été dans l'o-
bligation de cesser momentanément notre
parution sur 16 pages.
Au demeurant, nous nous déclarons soli-
daires des ouvriers du livre qui ont à
leur to.ir décidé1 la grève illimitée.
Cependant l'évolution de la situation
nous fait un devoir absolu d'interve-
nir pour faire entendre la voix de no-
tre parti, que la grande presse bour-
geoise et révisionniste s'efforce tou-
jours de cacher ou de calomnier.
C'est pourquoi nous avons réussi à
publier ce journal fie format et de pré-
sentation difrérents ''e notre hobdomadai*
re hab ituel.
DEPUIS DES ANNEES
L HUMANITE NOUVELLE
DANS LA BATAILLE
Si l'on feuilleté rapidement la col-
lection complète de notre organe central
depuis son premier numéro public, comme
mensuel, au mois de février 1965, on
constate que le développement ries événe-
ments en cours répond très exactement à
ce que nous n'avons cessé de proclamer
et «le préconiser.
Voici à cet égard quelques rappels de
textes parus dans "L'HUMANITE-NOUVELLE"
Numéro 4 ( mensuel de mai 1965 )
A l'occasion «l'une critique des positions
des dirigeants révisionnistes réunis au
35ème Congrès de la C.G.T., on peut lire
en page trois le pavé suivant s
" Les conquêtes de la classe ouvrière
ne seront jamais définitives tant que
subsistera le honteux régime de l'ex-
ploitation capitaliste.
Le pouvoir capitaliste remet toujours
en cause les conquêtes des travailleurs.
Aussi les ouvriers ne doivent ils ja-
mais tenir pour définitif un succès pas-
sager. Ils ont pour tâche de dévelop-
per leurs luttes pour aller toujours
plus loin.
Le travailleurs qui ont conquis des avan-
tages importants grâce à la mise en
place de municipalités ouvrières ( lo-
gements, stades, salles ne la jeunesse
ou pour les vieux, etc...) restent me-
nacés par le pouvoir capitaliste :
exemple, les licenciements de travail-
leurs dans lesréparations navales.
Seul le socialisme assurera définiti-
vement la garantie du maintien des avan-
tages sociaux conquis par la lutte de
classe )
CAMARADE, n'oublie jamais que la lutte
doit être poursuivie jusqu'au bout ! "
Cet appel conserve aujourdhui plus que ja-
mais toute sa valeur.
Numéro 39 du jeudi 2 février 1967
Tirnt les lecçons de la grève de 2k heu-
res du 1er février 1967, pour la première
fois notre organe central, devenu hebdo-
madaire, lançait le juste mot d'ordre :
" UNITE A LA BASE ET DANS L'ACTION ! "
et son éditorial de première page s'ache-
vait sur le rappel des conseils fournies
jadis par le secrétaire général de l'Inter-
nationale communiste, Georges DIMITROV :
" UNITE AU SOMMET SEULEMENT : JAMAIS !
UNITE AU SOMMET ET A LA BASE :
QUELQUEFOIS !
UNITE A LA BASE : TOUJOURS I "
Dés lors notre HUMANITE-NOUVELLE nfcllait
plus jamais cesser à chacun de ses numéros
«le préconise* la ligne juste pour assurer
la victoire de la lutte des masses laborieu-
ses, classe ouvrière en tête.
Numéro 4O du 9 février 1967
Une déclaration du comité central du MOU-
VEMENT COMMUNISTE FRANÇAIS ( marxiste-lé
niniste ), signée de PARIS en date du 29
janvier 1967r indiquait notamment :
" ... Sachant que le front unique, c'est
l'action et l'organisation de l'action à
la base, nous appelons les travailleurs à
écarter les mots d'ordre attentistes des
dirigeants révisionnistes, à élaborer eux
mêmes leurs propres mots d'ordre corres-
pondant à leurs besoins vitaux, et à engager
résolurment Ifection contre les exploiteurs
et l'état-patron, en appliquant la tacti-
que "classe .contre classe",.."
et un peu plus loin :
" ...la force de la classe ouvrière se
trouve à l'usine. C'est dans l'entrepri-
se que doivent surgir les ripostes déci-
sives du prolétariat contre tous ses ennemis.
Les travailleurs coiuiunistes doivent s'inspi-
rer de cette vérité : que la crise économi-
que à l'échelle de l'Europe capitaliste à
laquelle notre économie est enchaînée va
connaître un approfondissment considérable,
qui fera surgir êtes contradictions et des
luttes de classe acharnées. Les travailleurs
communistes doivent avoir cette claire cons-
cience qu'ilsont affaire à la crise générale
du capitalisme telle que l'a définie LE'.'INrC.
Que cette crise ne peut en aucun cas être
résolue par une série de réformes propres
à soulager le capitalisme - ou à calmer la
classe ouvrière comme en 1936. Ils Doivent
savoir que cette crise ne peut être ré-
solue que par une lutte sars merci du
prolétariat qui devra cethe fois-ci pous-
ser jusqu'au bout sa mission histotique
c'est à dire elevenir le fossoyeur du ca-
pitalisme, c'est à dire briser l'appareil
d'état bourgeois et s'ériger en classe do-
minante, instaurer la dictature du prolé-
tariat pour construire le socialisme en vue
de 1 ' établis sincnt ultérieur de la société
saris classes, le c oimnunisme..."
Numéto 'il du 16 février 1967
Question posée en première page :
" QUI TIENDRA LES USINES ?
Lock—out patronal couine aux U.S.A ?
Occupation ouvrière coniiiie on 1936 ? "
Numéro 46 du 23 mars 1967
Pour la première fois, le secrétaire poli-
tique du MOUV/:;:';NT co :.U:;ISTE FRANÇAIS
(marxiste-léniniste), le camarade Jacques
JURQUET lançait le mot d'ordre :
" Contre les violences patronales et les
lock—out
OCCUPEZ LES USINES ! "
II appuyait son éditorial sur l'exemple
fourni par les grévistes de l'usine RHO-
DIACETA qui, occupant temporairement leurs
ateliers, avaient commencé d'opposer à la
violence de la classe des patrons celle du
prolétariat.
Numéro 47 du 30 mars 1967
Son titre de première page était :
" Classe contre dasse : occupation des
usines ! " et son sous-titre indiquait
" Les bonzes syndicaux débordés par la base
ouvrière "
Numéro 53 ^u jeudi 11 mai 1967
Ne se laissant nullemen' détourner par 1'
agression de style fasciste des kommandos
révisionnistes qui avaient attaqué notre
meeting du 5 mai pour uii soutien politique
au peuple vietnamien, à la salle de la mutu-
alité à PA1 IS, notre organe central publiait
un important éditorial en tête de sa rubri-
que permanente "Le front du travail " sous
le titre :
" Pour une véritable grève politique de
masse ! " et il dénonçait sans équivoque
la "ligne de capitulation et de trahison"
de l'alliance conclue entre les dirigeants
réformistes et révisionnistes c'u P."C.".F.
et de la F.G.O.S.
Numéto 55 du 25 mai 1967
Un long article consécutif à la grève de
24 heures du 17 mai donnait en exemple,
comme forme de lutte ouvrière juste, les
manifestations violentes des ouvriers de
ROCHEFORT, manifestant dans lesrues, puis
occupant leur usine.
Numéro 69 du 5 octobre 1967
En page première une photographie des "ou-
vriers en grève sur le chantier de l'exposi
tion universelle en 1936" avec eette légen-
de :
" En 1936, Maurice TiiOREZ disait + +I1 faut
savoir terminer une grève ++
En 1967. lestravailleurs aux bonzes révi-
sionnistes : ++I1 faut savoir commencer
une grève ! ++
Pour la première fois , ce numéro préconi-
sait sur toute la largeur r'e sa première
page :
" Front uni avec le combat paysan ! " et
ajoutait :
" A l'action pour les grèves et les occu-
pations d'usine ! "
Numéro 88 du 8 février 1968
Notre organe était devenu celui du Parti
communiste marxiste-léniniste de FRANCE.
Raymond CASAS, secrétaire politique et
Claude CO'iilE, membre du Secrétariat, tous
deux ouvriers et militants syndicalistes
dans r'e grandes entreprises, développaient
longuement le point de vue des marxistes-
léninistes sur les questions capitales sui-
vantes :
" Lutte des classes - Crise économique et
perspectives "
et " La classe ouvrière dans la bataille"
Raymond CASAS écrivait " L'émancipation
des travailleurs sera l'oeuvre des travail-
leurs eux-mêmes ! "
Claude COMBE concluait : " En avant donc
pour de grandes batailles de classes ! Que
chaque ca?narade se jette dans l'actioh, dans
le travail militant, et qu'il ne négli-;e ni
son temps, ni sa peine ! La réussite est à
ce prix ! "
Numéro S<) du 15 février lOt'S
Publication C.e la fin du rapport
présenté devant le Congrès de Puyricard par
le Caman.de Jacques JU.ÏQUKT, Secrétaire po-
litique, ^ou.-î le titre » Les révi ,ionni s t es
doivent être démasqué* sur toute la ligne
notre camarade présentait l'essentiel ae nos
positions sur les problèmes ouvriers.
Ce texte est malheureusement trop long pour
que nous puissions le publier de nouveau.
Numéro 92 rlu 5 mars 1968
Numéro spécial publiant le "Programme
du Parti communiste marxiste-léniniste
de FRANCE " et 1" " Al'PEL aux travailleurs"
provenant des travaux du 1er Congrès tenus
les 3o et 31 décembre 196" •
Pans 1" appel aux travailleurs , ce passage:
" ... la crise économique très grave qui
s'ouvre en France offre des possibilités
réelles de gaire agir la classe ouvrière,
la paysannerie laborieuse, les classes
moyennes, de lesorienter vers un changement
définitif, où sera-- supprimée à jamais dans
notre pays l'exploitation de l'homme par
l'homnie. Peur mener jusqu'au bout ce tra-
vail et cette lutte, il faut à notre peu-
ple une avant-garde, un Parti dévoué jus-
qu'au bout à s cause.
Voilà notre raison d'être. Nous nous enga-
geons devant tous les exploités à être ce
Parti, cette organisation, indispens blé,
nécessaire, de type marxiste-léniniste.
Travailleurs, ce Parti est le vôtre.
En rejoignant en masse ses rangs, vous en
ferez la force vive, vous accélérerez la
marche de l'histoire vers une société nou-
velle, débarassée à jamais de fléaux capi-
talistes que sont l'injustice sociale, les
criées économiques et les guerres impérialis
tes. "
Dans le "Programme du Particommuniste ruarxisèe
léniniste de France ", sous le titre " Vive
le marxisme-léninisme ! Vive la pensée de
MAO TSE-toung ! " les sous-titres suivants
fixaient clairement nos objectifs t
" Le but du Parti communiste marxiste-léninis
te de France est de renverser le rég.me des
monopoles par la révolution»
Rendons confiance à la classe ouvrière en 1'
organisant !
Unissons nous à la base et dans l'action !
Arrachons la classe ouvrière à l'influence
révisionniste I "
Ainsi donc, depuis sa création, notre organe
central 1»HU?LANITE-NOUVELLE , porte-parole ac-
tif des forces marxistes-léninistes en FRANCE
n'a cessé de montrer la juste voix, de mener
le bon combat contTe le pouvoir des monopoles
et contre les laquais de la bourgeoisie, pour
ta. défense conséquente des intérêts de classe
de la classe ouvrière et des plus larges mas-
ses laborieuses , pour.le socialisme I
L'HUMANITE-NOUVELLE continue ce combat, elle
le poursuivra quelles que soient les conditions
de sa parution et de la lutte.
BULLETIN DE DEMANDE DE CONTACT
NOM et PRENOM : .........
AGE : ...... PROFESSION :
ADRESSE : ////.
( bulletin à remettre à un de nos mili-
tants ou à renvoyer à l'adresse suivan
Humanité-nouvelle, 40, boul. Magenta
PARIS - 10° - )
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L'HUMANITE-NOUVELLE
( 16 Pages )
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François MARTY
Commission paritaire
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En raison de la grève des
Etablissements "Composition
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ROTOFFSET- MEAUX- S-et-M-"
Imprimerie spéciale dm
Parti communiste marxiste-
léniniste de France.
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L'Humanité nouvelle
Issue
no.103
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no.103